Londres, Royaume-Uni | AFP | mardi 19/01/2021 - La star Van Morrison, farouchement opposé au confinement pour lutter contre le coronavirus, prévoit de contester en justice l'interdiction de la musique live dans les bars en Irlande du Nord en raison de la pandémie, a indiqué mardi son avocat.
"Nous n'avons connaissance d'aucune preuve scientifique ou médicale crédible pour justifier cette interdiction (...) et nous allons la contester devant la Haute Cour" de Belfast, a indiqué l'avocat, Joe Rice, à l'AFP.
Une troisième vague du virus, attribuée à un variant considéré comme beaucoup plus contagieux, sévit actuellement au Royaume-Uni, pays le plus endeuillé d'Europe avec plus de 91.000 morts.
Face à la forte propagation du virus, les différentes nations constituant le pays ont décidé de se reconfiner, avec toutefois des calendriers différents, chacune décidant de sa propre stratégie de crise.
L'Irlande du Nord, qui s'est reconfinée pour six semaines juste après Noël, a interdit la musique live dans les établissements disposant d'une licence pour vendre de l'alcool.
Les bars, pubs et restaurants y sont actuellement fermés, mais l'interdiction était restée en place même quand ces établissements avaient été autorisés à rouvrir après les précédents confinements.
"De nombreuses personnes dans le monde de la musique et des arts en Irlande du Nord ont été dévastées financièrement, socialement et artistiquement par cette interdiction totale", a commenté l'avocat Joe Rice dans un communiqué, notant que les règles sont différentes en Angleterre et au Pays de Galles.
Selon lui, Van Morrison engage cette action en justice "au nom des milliers de musiciens, artistes, lieux de spectacles et personnes impliquées dans l'industrie de la musique live".
A 75 ans, le créateur de "Gloria" et "Brown-eyed girl" avait créé la controverse en août en dénonçant la "pseudoscience" qui, selon lui, entoure le nouveau coronavirus, dans un appel en faveur de la musique live, depuis retiré de son site internet.
Le mois suivant, il avait annoncé la sortie de trois chansons dans lesquelles il dénonce comme liberticide le confinement mis en place au plus fort de la première vague de la pandémie, au printemps 2020.
"Nous n'avons connaissance d'aucune preuve scientifique ou médicale crédible pour justifier cette interdiction (...) et nous allons la contester devant la Haute Cour" de Belfast, a indiqué l'avocat, Joe Rice, à l'AFP.
Une troisième vague du virus, attribuée à un variant considéré comme beaucoup plus contagieux, sévit actuellement au Royaume-Uni, pays le plus endeuillé d'Europe avec plus de 91.000 morts.
Face à la forte propagation du virus, les différentes nations constituant le pays ont décidé de se reconfiner, avec toutefois des calendriers différents, chacune décidant de sa propre stratégie de crise.
L'Irlande du Nord, qui s'est reconfinée pour six semaines juste après Noël, a interdit la musique live dans les établissements disposant d'une licence pour vendre de l'alcool.
Les bars, pubs et restaurants y sont actuellement fermés, mais l'interdiction était restée en place même quand ces établissements avaient été autorisés à rouvrir après les précédents confinements.
"De nombreuses personnes dans le monde de la musique et des arts en Irlande du Nord ont été dévastées financièrement, socialement et artistiquement par cette interdiction totale", a commenté l'avocat Joe Rice dans un communiqué, notant que les règles sont différentes en Angleterre et au Pays de Galles.
Selon lui, Van Morrison engage cette action en justice "au nom des milliers de musiciens, artistes, lieux de spectacles et personnes impliquées dans l'industrie de la musique live".
A 75 ans, le créateur de "Gloria" et "Brown-eyed girl" avait créé la controverse en août en dénonçant la "pseudoscience" qui, selon lui, entoure le nouveau coronavirus, dans un appel en faveur de la musique live, depuis retiré de son site internet.
Le mois suivant, il avait annoncé la sortie de trois chansons dans lesquelles il dénonce comme liberticide le confinement mis en place au plus fort de la première vague de la pandémie, au printemps 2020.