LE CREUSOT, 20 juin 2014 (AFP) - L'énergie nucléaire est une "filière d'avenir" pour la France et elle "permettra d'avancer en matière de transition énergétique", a déclaré vendredi le Premier ministre Manuel Valls, en visite dans une forge d'Areva au Creusot (Saône-et-Loire).
"La filière nucléaire, c'est donc une filière d'avenir pour notre pays. Oui, une filière d'avenir", a-t-il dit. "Elle incarne une part de notre génie industriel. Et c'est grâce au nucléaire que nous pourrons avancer en matière de transition énergétique", a dit le Premier ministre, deux jours après la présentation du projet de loi sur l'énergie qui prévoit la réduction de la part de l'électricité nucléaire en France.
"Cette industrie particulièrement compétitive qui gardera une place de premier plan, unique au monde, dans notre mix énergétique est une fierté et un pilier de notre économie. L'État sera toujours là pour la soutenir et pour l'encourager dans ses projets à l'export", a dit M. Valls.
En plein dénouement du dossier de la reprise des activités d'Alstom, qui a finalement retenu à Paris pour une conférence de presse le ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, le Premier ministre a prononcé un plaidoyer pour l'industrie.
"L'industrie, c'est l'avenir, et donc c'est toujours l'avenir. Autant que les services", a plaidé le Premier ministre devant un parterre comprenant notamment les employés du site, en défendant les baisses de charges pour les entreprises du "pacte de responsabilité du gouvernement".
"Oui, nous voulons que la France renaisse et que son industrie renaisse et c'est le symbole de ma présence", déclarait le Premier ministre au moment même où M. Montebourg faisait connaître à Bercy le choix par le gouvernement de General Electric pour la reprise d'Alstom.
Mercredi, le très attendu projet de loi sur la transition énergétique présenté par Ségolène Royal a plutôt épargné la filière nucléaire en repoussant à plus tard les grands choix sur l'avenir de l'atome en France.
S'il entérine l'objectif présidentiel de ramener à 50% la part du nucléaire dans la consommation finale d'électricité et plafonne le parc nucléaire à son niveau actuel, un dispositif initialement prévu permettant à l'État de fermer des réacteurs nucléaires pour des motifs stratégiques n'a finalement pas été retenu.
"La filière nucléaire, c'est donc une filière d'avenir pour notre pays. Oui, une filière d'avenir", a-t-il dit. "Elle incarne une part de notre génie industriel. Et c'est grâce au nucléaire que nous pourrons avancer en matière de transition énergétique", a dit le Premier ministre, deux jours après la présentation du projet de loi sur l'énergie qui prévoit la réduction de la part de l'électricité nucléaire en France.
"Cette industrie particulièrement compétitive qui gardera une place de premier plan, unique au monde, dans notre mix énergétique est une fierté et un pilier de notre économie. L'État sera toujours là pour la soutenir et pour l'encourager dans ses projets à l'export", a dit M. Valls.
En plein dénouement du dossier de la reprise des activités d'Alstom, qui a finalement retenu à Paris pour une conférence de presse le ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, le Premier ministre a prononcé un plaidoyer pour l'industrie.
"L'industrie, c'est l'avenir, et donc c'est toujours l'avenir. Autant que les services", a plaidé le Premier ministre devant un parterre comprenant notamment les employés du site, en défendant les baisses de charges pour les entreprises du "pacte de responsabilité du gouvernement".
"Oui, nous voulons que la France renaisse et que son industrie renaisse et c'est le symbole de ma présence", déclarait le Premier ministre au moment même où M. Montebourg faisait connaître à Bercy le choix par le gouvernement de General Electric pour la reprise d'Alstom.
Mercredi, le très attendu projet de loi sur la transition énergétique présenté par Ségolène Royal a plutôt épargné la filière nucléaire en repoussant à plus tard les grands choix sur l'avenir de l'atome en France.
S'il entérine l'objectif présidentiel de ramener à 50% la part du nucléaire dans la consommation finale d'électricité et plafonne le parc nucléaire à son niveau actuel, un dispositif initialement prévu permettant à l'État de fermer des réacteurs nucléaires pour des motifs stratégiques n'a finalement pas été retenu.