Paris, France | AFP | jeudi 31/12/2020 - "Aucun effet indésirable grave" ou "inattendu" du vaccin contre le Covid-19 n'a été observé en France après les quatre premiers jours de vaccination, a indiqué jeudi l'Agence du médicament (ANSM).
Seules "des douleurs" à l'endroit où on fait l'injection et "de la fatigue" ont été signalées par certaines structures pour personnes âgées où la vaccination a déjà eu lieu, a précisé l'ANSM dans son premier point de situation sur la surveillance du vaccin.
"Ces effets indésirables non graves sont mentionnés dans la notice" du vaccin, a-t-elle rappelé.
Depuis le début de la campagne de vaccination dimanche, moins de 200 personnes en France ont reçu le vaccin de Pfizer/BioNTech, le premier à être disponible. Ce lent démarrage a suscité critiques et incompréhension dans la classe politique et chez certains médecins.
Selon la stratégie choisie par la France, la vaccination commence par les quelque 750.000 résidents des maisons de retraite ainsi que par les salariés à risques de ces établissements (les plus de 65 ans, ceux qui sont touchés par d'autres affections...).
Les publics ciblés doivent ensuite être élargis par étapes, les plus jeunes et les moins fragiles passant en dernier.
Pour cette campagne de vaccination, un "dispositif de surveillance renforcée" a été mis en place par l'ANSM et les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV), rappelle l'Agence.
"Les CRPV sont en contact régulier" avec les établissements pour seniors où a lieu la vaccination.
"Ces échanges ont pour objectif d'accompagner ces établissements dans la surveillance des effets indésirables, notamment pour faciliter la remontée immédiate des effets indésirables graves et/ou inattendus qui pourraient survenir", poursuit l'ANSM.
"Cette surveillance renforcée se poursuit avec de nouveaux établissements qui débuteront les vaccinations à partir de la semaine prochaine. L'ANSM, en lien avec les CRPV, pourra communiquer à tout moment si un signal de sécurité est identifié", conclut-elle.
Seules "des douleurs" à l'endroit où on fait l'injection et "de la fatigue" ont été signalées par certaines structures pour personnes âgées où la vaccination a déjà eu lieu, a précisé l'ANSM dans son premier point de situation sur la surveillance du vaccin.
"Ces effets indésirables non graves sont mentionnés dans la notice" du vaccin, a-t-elle rappelé.
Depuis le début de la campagne de vaccination dimanche, moins de 200 personnes en France ont reçu le vaccin de Pfizer/BioNTech, le premier à être disponible. Ce lent démarrage a suscité critiques et incompréhension dans la classe politique et chez certains médecins.
Selon la stratégie choisie par la France, la vaccination commence par les quelque 750.000 résidents des maisons de retraite ainsi que par les salariés à risques de ces établissements (les plus de 65 ans, ceux qui sont touchés par d'autres affections...).
Les publics ciblés doivent ensuite être élargis par étapes, les plus jeunes et les moins fragiles passant en dernier.
Pour cette campagne de vaccination, un "dispositif de surveillance renforcée" a été mis en place par l'ANSM et les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV), rappelle l'Agence.
"Les CRPV sont en contact régulier" avec les établissements pour seniors où a lieu la vaccination.
"Ces échanges ont pour objectif d'accompagner ces établissements dans la surveillance des effets indésirables, notamment pour faciliter la remontée immédiate des effets indésirables graves et/ou inattendus qui pourraient survenir", poursuit l'ANSM.
"Cette surveillance renforcée se poursuit avec de nouveaux établissements qui débuteront les vaccinations à partir de la semaine prochaine. L'ANSM, en lien avec les CRPV, pourra communiquer à tout moment si un signal de sécurité est identifié", conclut-elle.