CHRISTCHURCH, 1 mars 2011 (AFP) - La Nouvelle-Zélance a observé mardi deux minutes de silence, une semaine exactement après un violent séisme à Christchurch, qui a fait plus de 240 morts ou disparus.
A 12H51 heure locale (23H51 GMT lundi), le pays s'est arrêté, pour rendre hommage aux victimes du tremblement de terre de magnitude 6,3 qui a secoué et détruit une bonne partie de la deuxième ville du pays.
"Nous nous souvenons de ceux qui sont morts pendant le tremblement de terre du 22 février", a déclaré Peter Beck, prêtre de la cathédrale anglicane de Christchurch, où 22 corps sont enfouis sous les ruines du clocher effondré.
Les drapeaux ont été mis en berne dans tout le pays. Le Premier ministre John Key s'est recueilli au milieu du centre-ville, la partie la plus détruite de Christchurch. Les secouristes ont interrompu leurs tâches, retiré leur casque et baissé la tête.
Ailleurs, les Néo-Zélandais se sont rassemblés dans les églises du pays. Dans la cathédrale de Wellington, la capitale, la foule était trop nombreuse pour le bâtiment et beaucoup sont restés dehors.
Le bilan officiel est actuellement de 154 morts mais il devrait grimper jusqu'à 240, en raison des disparus qui ont peu de chance d'être retrouvés vivants, a indiqué la police.
John Key a promis une enquête sur les causes de l'effondrement de nombreux bâtiments modernes, qui avaient pourtant été bâtis selon de sévères normes antisismiques.
"Il doit y avoir une enquête. Nous devons apporter des réponses aux gens sur les causes de tant de morts et nous devons tirer les leçons de ce tremblement de terre", a déclaré le Premier ministre à la radio nationale néo-zélandaise.
"Certaines choses étaient au-delà de notre contrôle, c'est un acte de la nature qui a eu des effets dévastateurs, mais nous nous devons aussi dire aux gens ce qui n'a pas fonctionné", a-t-il déclaré.
Le séisme du 22 février est le plus meurtrier depuis 80 ans en Nouvelle-Zélande. Un tremblement de terre en février 1931 avait fait 256 morts.
A 12H51 heure locale (23H51 GMT lundi), le pays s'est arrêté, pour rendre hommage aux victimes du tremblement de terre de magnitude 6,3 qui a secoué et détruit une bonne partie de la deuxième ville du pays.
"Nous nous souvenons de ceux qui sont morts pendant le tremblement de terre du 22 février", a déclaré Peter Beck, prêtre de la cathédrale anglicane de Christchurch, où 22 corps sont enfouis sous les ruines du clocher effondré.
Les drapeaux ont été mis en berne dans tout le pays. Le Premier ministre John Key s'est recueilli au milieu du centre-ville, la partie la plus détruite de Christchurch. Les secouristes ont interrompu leurs tâches, retiré leur casque et baissé la tête.
Ailleurs, les Néo-Zélandais se sont rassemblés dans les églises du pays. Dans la cathédrale de Wellington, la capitale, la foule était trop nombreuse pour le bâtiment et beaucoup sont restés dehors.
Le bilan officiel est actuellement de 154 morts mais il devrait grimper jusqu'à 240, en raison des disparus qui ont peu de chance d'être retrouvés vivants, a indiqué la police.
John Key a promis une enquête sur les causes de l'effondrement de nombreux bâtiments modernes, qui avaient pourtant été bâtis selon de sévères normes antisismiques.
"Il doit y avoir une enquête. Nous devons apporter des réponses aux gens sur les causes de tant de morts et nous devons tirer les leçons de ce tremblement de terre", a déclaré le Premier ministre à la radio nationale néo-zélandaise.
"Certaines choses étaient au-delà de notre contrôle, c'est un acte de la nature qui a eu des effets dévastateurs, mais nous nous devons aussi dire aux gens ce qui n'a pas fonctionné", a-t-il déclaré.
Le séisme du 22 février est le plus meurtrier depuis 80 ans en Nouvelle-Zélande. Un tremblement de terre en février 1931 avait fait 256 morts.