PAPEETE, 21 octobre 2015 - Le Pays envisage de se porter acquéreur du foncier nécessaire l’aménagement au raccordement l’hôtel Royal Huahine au réseau routier de l’île.
Un projet d’arrêté d’expropriation pour cause d’utilité publique a été présenté en conseil des ministres, ce mercredi. Le Pays souhaite maîtriser les emprises foncières nécessaires à l’aménagement d’un tronçon routier de 1,12 km, sur la presqu’île de Fitii à Huahine.
Cette route devrait permettre à terme de relier l’hôtel Royal Huahine au réseau carrossable de l’île. La durée des travaux est estimée à 10 mois pour un coût prévisionnel de 188 millions Fcfp.
Actuellement, l’établissement hôtelier et les habitations environnantes ne sont accessibles que par voie maritime. En cas de mauvais temps, les touristes et résidents sont limités dans leurs déplacements.
Une fois réglée la question du foncier, la réalisation du tronçon de route nécessitera le terrassement de 30 000 m3. Si la création de cet accès routier facilitera les conditions d’exploitation de l’établissement hôtelier, il pourrait également permettre une augmentation du potentiel agricole de la zone, une croissance future de l’urbanisation des zones désenclavées et la découverte et l’accès à des sites archéologiques jusqu’ici inexploités.
Un projet d’arrêté d’expropriation pour cause d’utilité publique a été présenté en conseil des ministres, ce mercredi. Le Pays souhaite maîtriser les emprises foncières nécessaires à l’aménagement d’un tronçon routier de 1,12 km, sur la presqu’île de Fitii à Huahine.
Cette route devrait permettre à terme de relier l’hôtel Royal Huahine au réseau carrossable de l’île. La durée des travaux est estimée à 10 mois pour un coût prévisionnel de 188 millions Fcfp.
Actuellement, l’établissement hôtelier et les habitations environnantes ne sont accessibles que par voie maritime. En cas de mauvais temps, les touristes et résidents sont limités dans leurs déplacements.
Une fois réglée la question du foncier, la réalisation du tronçon de route nécessitera le terrassement de 30 000 m3. Si la création de cet accès routier facilitera les conditions d’exploitation de l’établissement hôtelier, il pourrait également permettre une augmentation du potentiel agricole de la zone, une croissance future de l’urbanisation des zones désenclavées et la découverte et l’accès à des sites archéologiques jusqu’ici inexploités.