Cette mèche de cheveux aurait été coupée à la mort de Bonaparte, à l’âge de 51 ans, en 1821, sur l’île de Saint Hélène.
À l’origine, elle appartenait à la famille de Denzil Ibbetson, officier commissaire en poste six semaines durant sur cette île où l’empereur français avait été exilé.
Elle avait a été transmise à ses descendants, à commencer par son fils Frederick, qui s’était installé en Nouvelle-Zélande dans les années 1860.
C’est un acquéreur anonyme, basé à Londres, qui a emporté l’enchère, par téléphone.
D’autres acheteurs potentiels s’étaient manifestés aux États-Unis, en Lituanie et en France, ont précisé les organisateurs.
Au cours de la même vente, d’autres objets ont été vendus, dont des dessins et aquarelles réalisés par l’officier commissaire Ibbetson, son journal intime, qui décrivait l’état de santé de Napoléon Bonaparte et ses activités quotidiennes, ainsi que la relation de projets napoléoniens d’invasion de l’Angleterre.
« Napoléon parle d’envahir l’Angleterre avec deux cent mille soldats d’infanterie et six mille de cavalerie », écrivait à l’époque le commissaire Ibbetson.
À l’origine, elle appartenait à la famille de Denzil Ibbetson, officier commissaire en poste six semaines durant sur cette île où l’empereur français avait été exilé.
Elle avait a été transmise à ses descendants, à commencer par son fils Frederick, qui s’était installé en Nouvelle-Zélande dans les années 1860.
C’est un acquéreur anonyme, basé à Londres, qui a emporté l’enchère, par téléphone.
D’autres acheteurs potentiels s’étaient manifestés aux États-Unis, en Lituanie et en France, ont précisé les organisateurs.
Au cours de la même vente, d’autres objets ont été vendus, dont des dessins et aquarelles réalisés par l’officier commissaire Ibbetson, son journal intime, qui décrivait l’état de santé de Napoléon Bonaparte et ses activités quotidiennes, ainsi que la relation de projets napoléoniens d’invasion de l’Angleterre.
« Napoléon parle d’envahir l’Angleterre avec deux cent mille soldats d’infanterie et six mille de cavalerie », écrivait à l’époque le commissaire Ibbetson.