Gabriella Nagy, 35 ans, réclame 600.000 dollars canadiens (580.000 dollars américains) à Rogers Sans-Fil pour atteinte à la vie privée et rupture de contrat.
Elle fait valoir, selon les pièces du dossier, qu'elle avait demandé à Rogers de lui envoyer sa facture à son nom, chez elle, mais qu'au lieu de cela le courrier lui a été adressé avec les factures familiales de télévision, internet et téléphone fixe, le tout au nom de son mari.
Son époux a alors remarqué un numéro appelé régulièrement. Il l'a composé, tombant sur un homme qui lui a dit avoir eu récemment une liaison de trois semaines avec sa femme.
"La liaison était terminée", a affirmé la jeune femme à l'agence de presse du groupe Canwest. "Tout cela a été révélé contre ma volonté".
Elle accuse Rogers d'avoir causé son divorce et "porté atteinte à sa vie privée".
La direction de Rogers rétorque avoir groupé les factures à la demande du couple.
"Le mariage a été rompu (...), mais cela serait arrivé de toute façon, indépendamment de la façon dont la plaignante et son mari recevaient leurs factures", a ajouté la compagnie dans une déclaration de la défense.
Elle fait valoir, selon les pièces du dossier, qu'elle avait demandé à Rogers de lui envoyer sa facture à son nom, chez elle, mais qu'au lieu de cela le courrier lui a été adressé avec les factures familiales de télévision, internet et téléphone fixe, le tout au nom de son mari.
Son époux a alors remarqué un numéro appelé régulièrement. Il l'a composé, tombant sur un homme qui lui a dit avoir eu récemment une liaison de trois semaines avec sa femme.
"La liaison était terminée", a affirmé la jeune femme à l'agence de presse du groupe Canwest. "Tout cela a été révélé contre ma volonté".
Elle accuse Rogers d'avoir causé son divorce et "porté atteinte à sa vie privée".
La direction de Rogers rétorque avoir groupé les factures à la demande du couple.
"Le mariage a été rompu (...), mais cela serait arrivé de toute façon, indépendamment de la façon dont la plaignante et son mari recevaient leurs factures", a ajouté la compagnie dans une déclaration de la défense.