Les sessions de pré-sélection pour la Bourse NZ sont programmées à Papeete le 29 avril.
PAPEETE, le 10 avril 2019. Et si vous partiez un an tous frais payés étudier en Nouvelle Zélande ? Le Consulat vous propose des bourses d’études…et il reste encore des places, profitez-en ! Des tests d‘anglais sont organisés le 29 avril à Papeete.
Le Consulat de Nouvelle-Zélande basé à Nouméa propose depuis plusieurs années un programme de bourse de formation professionnelle en Nouvelle-Zélande tous frais payés (visa, avion, hébergement, frais de scolarité, assurance médicale, argent de poche, etc) pendant 15 mois aux candidats issus de Polynésie française, Nouvelle Calédonie et Wallis-et-Futuna.
Ce programme s'adresse à des personnes âgées de plus de 18 ans qui sont déjà engagées dans un projet professionnel et qui ont déjà deux ans d'expérience, stages et bénévolat compris.
Au total, ce sont plus de 15 candidats qui peuvent partir chaque année en Nouvelle-Zélande. Une initiative très intéressante mais qui reste méconnue. Le consulat de Nouvelle-Zélande indique manquer de candidatures. « La première étape pour bénéficier de ce programme est de réussir le test d’anglais de pré-sélection. Nous organisons donc une session le 29 avril au sein de la DGEE à Papeete », explique-t-on au consulat de Nouvelle-Zélande.
Les candidats devront justifier d'un niveau d'anglais suffisant pour suivre sans peine des cours professionnels. Il faut réussir ce test pour pouvoir ensuite déposer son dossier de candidature.
Actuellement, deux Polynésiens étudient en Nouvelle-Zélande grâce à ce programme : Landry à Auckland en Communication numérique et Tuarae à Christchurch en Tourisme. « Nous avons aussi quatre étudiants qui sont rentrées diplômés en décembre 2018 », indique le consulat.
Tous les domaines de formation professionnelle sont autorisés dans la mesure où ils participent au développement du pays et qu’ils sont reconnus comme prioritaires par le pays (à l’exception de la comptabilité, du droit, de l’enseignement et du médical pour des problèmes d’équivalence).
Le niveau d’étude maximum autorisé par le programme est « level 6 » dans le système néo-zélandais.
Il faut compter un minimum de 3 mois entre le dépôt de la candidature complète (après confirmation du niveau d’anglais) et le départ effectif en Nouvelle Zélande (tout dépendra également de la formation choisie sur place).
Le Consulat de Nouvelle-Zélande basé à Nouméa propose depuis plusieurs années un programme de bourse de formation professionnelle en Nouvelle-Zélande tous frais payés (visa, avion, hébergement, frais de scolarité, assurance médicale, argent de poche, etc) pendant 15 mois aux candidats issus de Polynésie française, Nouvelle Calédonie et Wallis-et-Futuna.
Ce programme s'adresse à des personnes âgées de plus de 18 ans qui sont déjà engagées dans un projet professionnel et qui ont déjà deux ans d'expérience, stages et bénévolat compris.
Au total, ce sont plus de 15 candidats qui peuvent partir chaque année en Nouvelle-Zélande. Une initiative très intéressante mais qui reste méconnue. Le consulat de Nouvelle-Zélande indique manquer de candidatures. « La première étape pour bénéficier de ce programme est de réussir le test d’anglais de pré-sélection. Nous organisons donc une session le 29 avril au sein de la DGEE à Papeete », explique-t-on au consulat de Nouvelle-Zélande.
Les candidats devront justifier d'un niveau d'anglais suffisant pour suivre sans peine des cours professionnels. Il faut réussir ce test pour pouvoir ensuite déposer son dossier de candidature.
Actuellement, deux Polynésiens étudient en Nouvelle-Zélande grâce à ce programme : Landry à Auckland en Communication numérique et Tuarae à Christchurch en Tourisme. « Nous avons aussi quatre étudiants qui sont rentrées diplômés en décembre 2018 », indique le consulat.
Tous les domaines de formation professionnelle sont autorisés dans la mesure où ils participent au développement du pays et qu’ils sont reconnus comme prioritaires par le pays (à l’exception de la comptabilité, du droit, de l’enseignement et du médical pour des problèmes d’équivalence).
Le niveau d’étude maximum autorisé par le programme est « level 6 » dans le système néo-zélandais.
Il faut compter un minimum de 3 mois entre le dépôt de la candidature complète (après confirmation du niveau d’anglais) et le départ effectif en Nouvelle Zélande (tout dépendra également de la formation choisie sur place).
Contacts
Mail : nznoumea@mfat.net
Page Facebook Consulat NZ en Nouvelle Calédonie, Polynesie française et Wallis & Futuna
Site internet : www.mfat.govt.nz
Page Facebook Consulat NZ en Nouvelle Calédonie, Polynesie française et Wallis & Futuna
Site internet : www.mfat.govt.nz
Quels critères ?
- Avoir un bon niveau d’anglais
- Vivre en Nouvelle Calédonie, en Polynésie française ou à Wallis et Futuna depuis plusieurs années (majeure partie de la scolarité)
- Pouvoir justifier de 1 à 2 ans d’expérience professionnelle (temps partiel, stage, bénévolat, etc)
- S’engager à rentrer au pays pendant un minimum de 2 ans suite à la formation en Nouvelle Zélande.
- Vivre en Nouvelle Calédonie, en Polynésie française ou à Wallis et Futuna depuis plusieurs années (majeure partie de la scolarité)
- Pouvoir justifier de 1 à 2 ans d’expérience professionnelle (temps partiel, stage, bénévolat, etc)
- S’engager à rentrer au pays pendant un minimum de 2 ans suite à la formation en Nouvelle Zélande.
Les frais pris en charge
Ce que couvre le programme
- La visite médicale et les examens liés au visa
- Les frais de visa
- Les frais d’étude et de scolarité
- Les frais d’hébergement en famille d’accueil
- Les billets d’avion (aller et retour, pas de retour pendant l’année scolaire)
- La couverture médicale
- Une allocation financière pour couvrir les frais des transports publics, des activités culturelles et autres frais locaux
- La visite médicale et les examens liés au visa
- Les frais de visa
- Les frais d’étude et de scolarité
- Les frais d’hébergement en famille d’accueil
- Les billets d’avion (aller et retour, pas de retour pendant l’année scolaire)
- La couverture médicale
- Une allocation financière pour couvrir les frais des transports publics, des activités culturelles et autres frais locaux
Une autorisation électronique de voyage à partir du 1er octobre
Le gouvernement néo-zélandais a confirmé la mise en place d’une ETA (autorisation électronique de voyage). Cette nouveauté vise à renforcer la sécurité aux frontières, accélérer le processus d’immigration et simplifier les formalités. Cette ETA sera obligatoire dès le 1er octobre. Elle sera valable deux ans.
Les demandes électroniques pourront se faire dès le début du mois de juillet, via un site Internet ou une application mobile.
Les voyageurs polynésiens devront débourser entre 655 pour les demandes faites via une application mobile et 875 Fcfp pour les demandes faites via le site Internet pour se rendre en Nouvelle-Zélande, à partir du 1er octobre prochain.
A noter que les voyageurs australiens seront exemptés de cette obligation.
La Nouvelle-Zélande est une des principales destinations des Polynésiens pour leurs voyages à l’étranger. Les pays les plus visités par les voyageurs polynésiens étaient en 2015 les États-Unis, la France et la Nouvelle-Zélande avec dans l'ordre 32 %, 30 % et 22 % des voyageurs y séjournant selon l’Institut de la statistique de la Polynésie française.
Les demandes électroniques pourront se faire dès le début du mois de juillet, via un site Internet ou une application mobile.
Les voyageurs polynésiens devront débourser entre 655 pour les demandes faites via une application mobile et 875 Fcfp pour les demandes faites via le site Internet pour se rendre en Nouvelle-Zélande, à partir du 1er octobre prochain.
A noter que les voyageurs australiens seront exemptés de cette obligation.
La Nouvelle-Zélande est une des principales destinations des Polynésiens pour leurs voyages à l’étranger. Les pays les plus visités par les voyageurs polynésiens étaient en 2015 les États-Unis, la France et la Nouvelle-Zélande avec dans l'ordre 32 %, 30 % et 22 % des voyageurs y séjournant selon l’Institut de la statistique de la Polynésie française.