Paris, France | AFP | lundi 24/04/2017 - Le Parti socialiste appelle "à battre l'extrême droite" et donc "à voter" pour Emmanuel Macron contre Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle, a déclaré lundi Jean-Christophe Cambadélis.
"Nous appelons à battre l’extrême droite, Marine Le Pen, et donc nous appelons à voter Macron. Cette prise de position a été unanime au sein du bureau national du PS et c’est suffisamment rare pour que ce soit souligné", a déclaré le premier secrétaire du PS au micro de BFMTV.
"C'est aux socialistes de s’engager dans la bataille", a poursuivi M. Cambadélis, précisant qu'"un tract à 4 millions d'exemplaires est en train d’être sorti".
"Pour nous, c'est une nouvelle campagne qui commence, c'est une campagne que nous devons mener avec beaucoup de détermination", a-t-il ajouté.
"Il y aura pendant ces 15 jours des réunions du PS et un travail en profondeur pour préparer les élections législatives", a poursuivi le premier secrétaire du PS.
Il a affirmé vouloir "mettre au centre le PS, ses projets, son programme et essayer de faire en sorte que nous puissions, dans la mesure de nos possibilités aujourd'hui, rassembler le maximum de progressistes autour de nous".
"Car nous ne pensons pas qu'Emmanuel Macron rassemblera les progressistes de gauche et nous ne pensons pas que Jean-Luc Mélenchon est en capacité de rassembler ceux qui viennent du centre", a-t-il précisé.
"Nous appelons à battre l’extrême droite, Marine Le Pen, et donc nous appelons à voter Macron. Cette prise de position a été unanime au sein du bureau national du PS et c’est suffisamment rare pour que ce soit souligné", a déclaré le premier secrétaire du PS au micro de BFMTV.
"C'est aux socialistes de s’engager dans la bataille", a poursuivi M. Cambadélis, précisant qu'"un tract à 4 millions d'exemplaires est en train d’être sorti".
"Pour nous, c'est une nouvelle campagne qui commence, c'est une campagne que nous devons mener avec beaucoup de détermination", a-t-il ajouté.
"Il y aura pendant ces 15 jours des réunions du PS et un travail en profondeur pour préparer les élections législatives", a poursuivi le premier secrétaire du PS.
Il a affirmé vouloir "mettre au centre le PS, ses projets, son programme et essayer de faire en sorte que nous puissions, dans la mesure de nos possibilités aujourd'hui, rassembler le maximum de progressistes autour de nous".
"Car nous ne pensons pas qu'Emmanuel Macron rassemblera les progressistes de gauche et nous ne pensons pas que Jean-Luc Mélenchon est en capacité de rassembler ceux qui viennent du centre", a-t-il précisé.