Wellington, Nouvelle-Zélande | AFP | mardi 21/05/2018 - Un tribunal néo-zélandais a ordonné mardi que soit mesuré le pénis d'un prévenu poursuivi pour agression sexuelle après que son accusatrice eut donné des indications sur sa taille, selon la presse.
David Scott, élu local de Kapiti, au nord-est de Wellington, plaidait non coupable d'avoir frotté ses parties génitales contre une femme employée par le conseil du district l'année dernière.
La victime présumée a déclaré que l'objet qui avait touché son dos mesurait entre 10 et 12 centimètres environ, rapporte le site d'informations stuff.co.nz.
Le juge Peter Hobbs a alors demandé au médecin du prévenu âgé de 72 ans de mesurer son pénis avec une règle en bois dans la cellule du tribunal.
Le magistrat a cependant refusé de rendre public les résultats de l'examen, a dit Radio New Zealand.
La défense fait valoir que c'est le portefeuille de l'élu qui a touché la plaignante au moment où il passait près d'elle.
Mais l'employée dément que ce qui appuyait contre son dos ait pu être un portefeuille, un téléphone ou un kit d'insuline, déclarant qu'il s'agissait en fait du sexe du prévenu.
David Scott, élu local de Kapiti, au nord-est de Wellington, plaidait non coupable d'avoir frotté ses parties génitales contre une femme employée par le conseil du district l'année dernière.
La victime présumée a déclaré que l'objet qui avait touché son dos mesurait entre 10 et 12 centimètres environ, rapporte le site d'informations stuff.co.nz.
Le juge Peter Hobbs a alors demandé au médecin du prévenu âgé de 72 ans de mesurer son pénis avec une règle en bois dans la cellule du tribunal.
Le magistrat a cependant refusé de rendre public les résultats de l'examen, a dit Radio New Zealand.
La défense fait valoir que c'est le portefeuille de l'élu qui a touché la plaignante au moment où il passait près d'elle.
Mais l'employée dément que ce qui appuyait contre son dos ait pu être un portefeuille, un téléphone ou un kit d'insuline, déclarant qu'il s'agissait en fait du sexe du prévenu.