AUCKLAND, lundi 8 août 2011 (Flash d'Océanie) – Un technicien de 51 ans a trouvé la mort lundi matin sur le tarmac de l’aéroport de Woodbourne (près d’Auckland) après qu’il ait été happé par un réacteur d’avion alors placé sur un banc d’essai peu après huit heures du matin (heure locale, GMT+12), rapporte la presse locale.
Cet homme, qui était employé par la société privée Safe Air (filiale d’Air New Zealand), aurait pénétré aux abord de cet essai en cours, sur un moteur démonté appartenant à un avion militaire gros porteur Hercules C-130, rapporte la télévision nationale.
Le réacteur, démonté de son avion d’origine, aurait alors été en phase de montée en puissance alors que l’opération de vérification était en cours, sur une rampe spéciale, a confirmé Rob Fyfe, directeur général d’Air New Zealand.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances précises de cet accident mortel survenu dans une zone réservée à Air New Zealand.
Safe Air, qui se spécialise dans l’entretien et la réparation d’avions civils et militaires, est basée sur ce petit aéroport de Woodbourne à l’Ouest de la base militaire de Blenheim.
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Cet homme, qui était employé par la société privée Safe Air (filiale d’Air New Zealand), aurait pénétré aux abord de cet essai en cours, sur un moteur démonté appartenant à un avion militaire gros porteur Hercules C-130, rapporte la télévision nationale.
Le réacteur, démonté de son avion d’origine, aurait alors été en phase de montée en puissance alors que l’opération de vérification était en cours, sur une rampe spéciale, a confirmé Rob Fyfe, directeur général d’Air New Zealand.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances précises de cet accident mortel survenu dans une zone réservée à Air New Zealand.
Safe Air, qui se spécialise dans l’entretien et la réparation d’avions civils et militaires, est basée sur ce petit aéroport de Woodbourne à l’Ouest de la base militaire de Blenheim.
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