Ce dispositif n’a pas été élaboré pour accabler les acheteurs de vanille mûre mais il tient compte du contexte mondial difficile que notre vanille subit à l’international : forte concurrence en provenance de Papouasie Nouvelle Guinée, chute du cours mondial de la vanille et sur-stockage de la vanille de Madagascar.
Ainsi, en marge des « prix plancher » pour l’achat de la vanille mûre, l’établissement Vanille de Tahiti, dont le budget modifié vient d’être approuvé, est chargé :
d’assimiler une partie de la surproduction de 2010, à hauteur de 7,5 tonnes de vanille mûre, pour la création de 10 000 « kits promotionnels » à destination des importateurs et distributeurs, mais aussi à destination de la haute gastronomie puisque notre vanille est principalement située sur un segment de marché de « luxe » : les restaurants, pâtissiers et glaciers haut de gamme sont nos principaux utilisateurs ;
de mettre en place pour mai 2010 une stratégie de promotion en adéquation avec les résultats de l’étude de marché sur le segment particulier de la vanille de Tahiti qui vient juste d’être restituée.
De cette étude, ont été dégagés trois marchés cibles : France, Allemagne et Amérique du nord (promotion ciblée, démarchage, salon, etc.).
Les exportateurs polynésiens collaborent et travaillent étroitement avec l’établissement afin d’écouler leur stock de vanille de la campagne de 2009 (environ 6 tonnes) ;
de commercialiser, en marge des distributeurs actuels, la vanille préparée des préparateurs et exportateurs, via sa boutique en ligne et les salons internationaux auxquels l’établissement participe pour la promotion ;
de développer la vente sur le marché local par la promotion et la sensibilisation des restaurateurs, glaciers, pâtissiers et des particuliers. La vanille de Tahiti, dans la plupart des préparations, est remplacée par des extraits de vanille bourbon importés. Une étude surprenante laisse apparaître que les Polynésiens (touristes inclus) ne consomment qu’une seule gousse de vanille par personne et par an. Ce marché gagne donc à être développé, avec notamment la fermeture des importations de vanille et produits dérivés.
Ainsi, en marge des « prix plancher » pour l’achat de la vanille mûre, l’établissement Vanille de Tahiti, dont le budget modifié vient d’être approuvé, est chargé :
d’assimiler une partie de la surproduction de 2010, à hauteur de 7,5 tonnes de vanille mûre, pour la création de 10 000 « kits promotionnels » à destination des importateurs et distributeurs, mais aussi à destination de la haute gastronomie puisque notre vanille est principalement située sur un segment de marché de « luxe » : les restaurants, pâtissiers et glaciers haut de gamme sont nos principaux utilisateurs ;
de mettre en place pour mai 2010 une stratégie de promotion en adéquation avec les résultats de l’étude de marché sur le segment particulier de la vanille de Tahiti qui vient juste d’être restituée.
De cette étude, ont été dégagés trois marchés cibles : France, Allemagne et Amérique du nord (promotion ciblée, démarchage, salon, etc.).
Les exportateurs polynésiens collaborent et travaillent étroitement avec l’établissement afin d’écouler leur stock de vanille de la campagne de 2009 (environ 6 tonnes) ;
de commercialiser, en marge des distributeurs actuels, la vanille préparée des préparateurs et exportateurs, via sa boutique en ligne et les salons internationaux auxquels l’établissement participe pour la promotion ;
de développer la vente sur le marché local par la promotion et la sensibilisation des restaurateurs, glaciers, pâtissiers et des particuliers. La vanille de Tahiti, dans la plupart des préparations, est remplacée par des extraits de vanille bourbon importés. Une étude surprenante laisse apparaître que les Polynésiens (touristes inclus) ne consomment qu’une seule gousse de vanille par personne et par an. Ce marché gagne donc à être développé, avec notamment la fermeture des importations de vanille et produits dérivés.