Les organisateurs et certains membres du jury. De gauche à droite : Marie-Laure Vanizette (directrice pole entreprise de la CCISM), Sabine Lorillou (élue CCISM et vice-présidente de la commission export), Cindy Gelas (JCET, présidente du jury du « Concours Nouvel Exportateur »), Patrick Yieng Kow (CCISM), Claudine Wagener (adjointe du directeur de la Socredoet Sophie Lubet (ministère de la Relance Économique)
PAPEETE, le 16 octobre 2014 - Le concours du « Nouvel Exportateur » est lancé ! Il ne s’agit pas d’un énième télé-crochet, mais de l’initiative conjointe de la CCISM et de la Jeune Chambre Économique pour donner un coup de pouce aux jeunes entreprises qui tentent leur chance à l’international.
Exportateurs de Polynésie, c’est à votre tour de briller. La JCET et la CCISM lancent aujourd’hui un grand « concours du nouvel exportateur », doté de plusieurs beaux prix : 500 000 Fcfp en liquide, un billet d’avion international pour un déplacement professionnel, un accompagnement technique… Et bien sur votre nom abondamment cité dans la presse.
Pour participer il suffit d’être une entreprise ayant été créée il y a moins de 5 ans, ayant son siège social en Polynésie et être producteur et exportateur de biens ou de services à partir du Territoire. L’exportation n’a pas besoin d’être l’activité principale de l’entreprise. Le gagnant sera sélectionné par un jury d’experts, et ce sera l’entreprise ayant « le plus gros potentiel d’exportation et qui méritera d’être aidée » explique Sabine Lorillou, vice-présidente de la commission export de la CCISM.
Une société qui remplirait les critères et voudrait tenter sa chance de remporter le gros lot n’a qu’à télécharger le dossier de candidature sur www.jcitahiti.com ou sur www.ccism.pf et le renvoyer avant le 7 novembre. Tout juste trois semaines donc, car ensuite le jury fera passer un oral aux candidats pour qu’ils lui présentent leurs entreprises, et ira ensuite les visiter dans leurs locaux.
Le gagnant recevra son prix le 19 novembre, en clôture d’un événement nommé « Tahiti Export Event » qui réunira tous les acteurs de l’exportation pendant trois jours à CCISM pour présenter les différentes procédures, entreprises et administrations concernées aux exportateurs potentiels du Pays.
« Nous voulons lever les freins à l’exportation »
Parmi les membres du jury se trouvera une représentante du ministère de la Relance Économique, en l’occurrence Sophie Lubet. Elle explique que l’administration dirigée par Jean-Christophe Bouissou veut « lever tous les freins, surtout réglementaires, pour favoriser l’export. Beaucoup de services et entreprises sont concernés par les discutions que nous avons engagées, les douanes ou les transitaires par exemple. Le précédent gouvernement avait introduit la « Déclaration simplifiée à l’Export » qui est bien avancée, et que nous voulons finaliser. »
Faciliter les démarches administratives est essentiel pour développer un secteur pour l’instant composé presque exclusivement de la perle et du poisson. Cindy Gelas de la JCET, qui présidera le jury du concours, assure que « le développement de notre fenua passe par l’export de nos savoir-faire. Avec ce concours nous certains d’avoir de très bonnes surprises. Il y a beaucoup de gens qui veulent faire des choses, et ils ont juste besoin d’un petit coup de main. »
Exportateurs de Polynésie, c’est à votre tour de briller. La JCET et la CCISM lancent aujourd’hui un grand « concours du nouvel exportateur », doté de plusieurs beaux prix : 500 000 Fcfp en liquide, un billet d’avion international pour un déplacement professionnel, un accompagnement technique… Et bien sur votre nom abondamment cité dans la presse.
Pour participer il suffit d’être une entreprise ayant été créée il y a moins de 5 ans, ayant son siège social en Polynésie et être producteur et exportateur de biens ou de services à partir du Territoire. L’exportation n’a pas besoin d’être l’activité principale de l’entreprise. Le gagnant sera sélectionné par un jury d’experts, et ce sera l’entreprise ayant « le plus gros potentiel d’exportation et qui méritera d’être aidée » explique Sabine Lorillou, vice-présidente de la commission export de la CCISM.
Une société qui remplirait les critères et voudrait tenter sa chance de remporter le gros lot n’a qu’à télécharger le dossier de candidature sur www.jcitahiti.com ou sur www.ccism.pf et le renvoyer avant le 7 novembre. Tout juste trois semaines donc, car ensuite le jury fera passer un oral aux candidats pour qu’ils lui présentent leurs entreprises, et ira ensuite les visiter dans leurs locaux.
Le gagnant recevra son prix le 19 novembre, en clôture d’un événement nommé « Tahiti Export Event » qui réunira tous les acteurs de l’exportation pendant trois jours à CCISM pour présenter les différentes procédures, entreprises et administrations concernées aux exportateurs potentiels du Pays.
« Nous voulons lever les freins à l’exportation »
Parmi les membres du jury se trouvera une représentante du ministère de la Relance Économique, en l’occurrence Sophie Lubet. Elle explique que l’administration dirigée par Jean-Christophe Bouissou veut « lever tous les freins, surtout réglementaires, pour favoriser l’export. Beaucoup de services et entreprises sont concernés par les discutions que nous avons engagées, les douanes ou les transitaires par exemple. Le précédent gouvernement avait introduit la « Déclaration simplifiée à l’Export » qui est bien avancée, et que nous voulons finaliser. »
Faciliter les démarches administratives est essentiel pour développer un secteur pour l’instant composé presque exclusivement de la perle et du poisson. Cindy Gelas de la JCET, qui présidera le jury du concours, assure que « le développement de notre fenua passe par l’export de nos savoir-faire. Avec ce concours nous certains d’avoir de très bonnes surprises. Il y a beaucoup de gens qui veulent faire des choses, et ils ont juste besoin d’un petit coup de main. »