Mercredi matin, Chistopher Dews avait posé son chevalet au PK 0.
Tahiti, le 1er août 2024 – Le navigateur et peintre Christopher Dews a choisi d’immortaliser l’ambiance olympique à Teahupo’o. Mercredi, il avait installé son chevalet à l’embouchure de la Fauoro, où il n’est pas passé inaperçu.
Au milieu du tumulte olympique, un peintre a posé son chevalet, ses pinceaux et ses couleurs à Teahupo’o. Mercredi matin, Christopher Dews avait opté pour l’embouchure de la rivière Fauoro, où l’ambiance était suspendue à une potentielle reprise de la compétition. En marge des performances sportives, sa performance artistique n’a pas manqué d’intriguer les spectateurs et les surfeurs du PK 0.
Originaire de Nouvelle-Zélande, l’artiste de 29 ans est aussi navigateur. Arrivé à Tahiti il y a quelques mois sur son voilier, il a traversé et peint l’océan Pacifique depuis Mexico avec sa compagne, également artiste. Initié à la peinture dès son plus jeune âge par son père, Steven Dews, peintre marin britannique renommé, il souhaitait immortaliser l’ambiance olympique à Teahupo’o. “J’ai commencé à peindre sur un taxi-boat pendant la forte houle, juste avant la période d’entraînement”, confie-t-il, cumulant 17 tableaux inspirés par différents lieux.
Au milieu du tumulte olympique, un peintre a posé son chevalet, ses pinceaux et ses couleurs à Teahupo’o. Mercredi matin, Christopher Dews avait opté pour l’embouchure de la rivière Fauoro, où l’ambiance était suspendue à une potentielle reprise de la compétition. En marge des performances sportives, sa performance artistique n’a pas manqué d’intriguer les spectateurs et les surfeurs du PK 0.
Originaire de Nouvelle-Zélande, l’artiste de 29 ans est aussi navigateur. Arrivé à Tahiti il y a quelques mois sur son voilier, il a traversé et peint l’océan Pacifique depuis Mexico avec sa compagne, également artiste. Initié à la peinture dès son plus jeune âge par son père, Steven Dews, peintre marin britannique renommé, il souhaitait immortaliser l’ambiance olympique à Teahupo’o. “J’ai commencé à peindre sur un taxi-boat pendant la forte houle, juste avant la période d’entraînement”, confie-t-il, cumulant 17 tableaux inspirés par différents lieux.
“Capturer l’instant différemment”
“Aujourd’hui, mon inspiration, c’est l’ambiance relax de ce jour off, avec les surfeurs locaux et quelques olympiens qui profitent des vagues, au bord. Je n’ai pas encore eu la chance de peindre sur un bateau pendant la compétition, mais j’aimerais au moins pouvoir peindre les festivités finales”, poursuit-il, tout en restant concentré sur son ouvrage. “La peinture, je pense que c’est un bon moyen de capturer l’instant et l’environnement, différemment que pour une photo. Je reste là et j’absorbe ce qu’il y a tout autour de moi. Ce tableau, c’est mon point de vue. Les vagues et les montagnes dégagent une telle énergie, que j’essaie de capturer pour retranscrire l’intensité du mouvement. Je me sens vraiment chanceux d’être ici en tant qu’artiste.”
S’il songe, avec humour, à “se peindre un badge” pour assouvir sa créativité malgré les restrictions d’accès, Christopher Dews est surtout sur le départ. Il a prévu de reprendre le large en direction de Vancouver, au Canada, dès ce week-end.
En marge des épreuves olympiques de surf, l’embouchure de la Fauoro a inspiré l’artiste (Crédit : Instagram / @christopherdews_).