La Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des Métiers, en partenariat avec l'Ademe (l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et la Diren (la direction régionale de l'environnement) lance un label développement durable.
Papeete, le 3 octobre 2018 - La Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des Métiers lance les "Challenges pour un fenua durable", destinés aux petits commerçants et artisans. Les participants à ces challenges se verront remettre un label récompensant leur implication en faveur de l'environnement.
Sensibiliser et inciter les petits commerçants et artisans à avoir une démarche écolo au quotidien. Tel est le challenge que s'est lancée la Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des Métiers, en partenariat avec l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et la Diren (Direction régionale de l'environnement) en instaurant un label pour un fenua durable. Ce label est décliné en trois niveaux, en fonction de l'implication des participants : label d'or, d'argent et de bronze.
Pour obtenir cette reconnaissance attribuée par la CCISM, les petits commerçants et artisans devront satisfaire un certain nombre de challenges obligatoires, répartis en sept thématiques, à savoir : les déchets, l'eau, l'énergie, les produits et services de développement durable, les transports, mobilité et déplacements, le développement local et sociétal et enfin la sensibilisation au développement durable.
Sensibiliser et inciter les petits commerçants et artisans à avoir une démarche écolo au quotidien. Tel est le challenge que s'est lancée la Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des Métiers, en partenariat avec l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie) et la Diren (Direction régionale de l'environnement) en instaurant un label pour un fenua durable. Ce label est décliné en trois niveaux, en fonction de l'implication des participants : label d'or, d'argent et de bronze.
Pour obtenir cette reconnaissance attribuée par la CCISM, les petits commerçants et artisans devront satisfaire un certain nombre de challenges obligatoires, répartis en sept thématiques, à savoir : les déchets, l'eau, l'énergie, les produits et services de développement durable, les transports, mobilité et déplacements, le développement local et sociétal et enfin la sensibilisation au développement durable.
DES CHALLENGES FACILES A REALISER
Outre la réalisation de ces critères obligatoires, les entreprises et commerçants du fenua devront également relever différents challenges optionnels, comme proposer un point de collecte de piles, ne pas utiliser de nettoyants à usage unique, genre lingettes, ou encore diminuer ou supprimer le suremballage…
"Ce sont souvent des challenges faciles à réaliser, l'objectif est vraiment que les artisans et les commerçants soient sensibilisés à cette problématique du développement durable et qu'ils adoptent les bons réflexes", remarque Orama Richaud, conseillère Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement à la CCISM.
En fonction du nombre de challenges relevés et réussis, le commerçant ou l'artisan se verra attribuer un label pour un fenua durable, niveau bronze (deux à quatre challenges optionnels relevés en plus des challenges obligatoire), niveau argent (cinq à neuf challenges optionnels) ou le meilleur, niveau or (plus de dix challenges optionnels).
"Ce sont souvent des challenges faciles à réaliser, l'objectif est vraiment que les artisans et les commerçants soient sensibilisés à cette problématique du développement durable et qu'ils adoptent les bons réflexes", remarque Orama Richaud, conseillère Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement à la CCISM.
En fonction du nombre de challenges relevés et réussis, le commerçant ou l'artisan se verra attribuer un label pour un fenua durable, niveau bronze (deux à quatre challenges optionnels relevés en plus des challenges obligatoire), niveau argent (cinq à neuf challenges optionnels) ou le meilleur, niveau or (plus de dix challenges optionnels).
UN GAIN D'ECONOMIE POUR LES ENTREPRISES
" Les petites entreprises ne sont pas faciles à toucher(…). Certaines personnes sont très ''moteurs' dans le domaine du développement durable, mais il existe également un grand nombre d'entreprises qui n'ont jamais rien fait. Cette démarche est un moyen de les aider à prendre conscience du développement durable, des gestes à adopter", note Sandrine Ouiazem, chargée de mission à l'Ademe.
Et pour les aider à suivre la route du développement durable, la CCISM propose aux petites commerçants et artisans, inscrits au registre de commerce, une démarche participative s'étalant sur plusieurs mois débutant par un diagnostic réalisé par un conseiller de la cellule Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement. " Les entreprises ignorent souvent les économies financières qu'elles peuvent réaliser en surveillant leur consommation d'énergie, notamment en surveillant leur consommation d'eau ou d'électricité…", précise la chargée de mission à l'Ademe.
Puis en fonction des conclusions du diagnostic effectué, le conseiller va alors présenter au gérant ou à l'artisan les différents challenges qu'ils sont en mesure de relever et les actions qu'ils peuvent mettre en œuvre pour les mener à bien. Avec le soutien et un suivi de la cellule, l’établissement a alors six mois, à compter de la date de remise du rapport de visite, pour relever les challenges.
Et si tout se déroule bien, la petite entreprise se voit labelliser "Challenges pour un fenua durable" et reçoit tout un kit de communication qu'elle pourra fièrement afficher sur sa devanture, montrant ainsi à ses clients sa participation à la sauvegarde environnementale du fenua.
Et pour les aider à suivre la route du développement durable, la CCISM propose aux petites commerçants et artisans, inscrits au registre de commerce, une démarche participative s'étalant sur plusieurs mois débutant par un diagnostic réalisé par un conseiller de la cellule Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement. " Les entreprises ignorent souvent les économies financières qu'elles peuvent réaliser en surveillant leur consommation d'énergie, notamment en surveillant leur consommation d'eau ou d'électricité…", précise la chargée de mission à l'Ademe.
Puis en fonction des conclusions du diagnostic effectué, le conseiller va alors présenter au gérant ou à l'artisan les différents challenges qu'ils sont en mesure de relever et les actions qu'ils peuvent mettre en œuvre pour les mener à bien. Avec le soutien et un suivi de la cellule, l’établissement a alors six mois, à compter de la date de remise du rapport de visite, pour relever les challenges.
Et si tout se déroule bien, la petite entreprise se voit labelliser "Challenges pour un fenua durable" et reçoit tout un kit de communication qu'elle pourra fièrement afficher sur sa devanture, montrant ainsi à ses clients sa participation à la sauvegarde environnementale du fenua.
AMELIORER TOUJOURS PLUS
Le label "Challenges pour un fenua durable" a une durée de trois ans. A l’issue de cette durée, une nouvelle visite doit être effectuée pour vérifier la pérennisation des actions menées lors de la première année. Pour conserver son label, l’entreprise devra également relever deux challenges supplémentaires. L’objectif étant d’améliorer de manière continue les actions entreprises par l’établissement en faveur du développement durable.
Infos pratiques :
Si vous êtes intéressé, contactez la CCISM par téléphone au : 40 47 24 47 ou par mail : [email protected]
Si vous êtes intéressé, contactez la CCISM par téléphone au : 40 47 24 47 ou par mail : [email protected]