AJACCIO, 10 février 2014 (AFP) - Le vent du scandale a parcouru Ajaccio lundi quand s'est propagée la nouvelle qu'un employé avait gravement endommagé un fauteuil pliant de Napoléon en s'asseyant dessus lors de la mise en place d'une exposition consacrée aux bivouacs de l'empereur.
Gardé secret, l'incident révélé lundi par la presse locale, s'est déroulé jeudi dernier au Palais Fesch-Musée des Beaux-Arts, au coeur historique de la Cité impériale.
Se prenant peut-être, l'histoire ne le dit pas, pour le plus illustre des fils d'Ajaccio, l'employé du Palais Fesch a déposé son postérieur sur ce fauteuil pliant en bois et cuir de 1808, identique aux sièges des metteurs en scène de cinéma.
Mais, comme par un effet de crime de lèse-majesté, le cuir rouge de l'assise du fauteuil appartenant au Mobilier national s'est déchiré sous le poids de l'employé facétieux et les montants de bois ont été détériorés.
Une restauratrice spécialisée a été urgemment dépêchée de Grenoble pour venir rendre son lustre au fauteuil impérial présenté avec plus de 70 autres objets à l'exposition "Napoléon au bivouac".
"Cet incident a la mérite d'avoir très bien fait restaurer ce fauteuil, qui l'avait déjà été antérieurement, mais moins bien", a déclaré le conservateur du Palais Fesch-Musée des Beaux-Arts d'Ajaccio, Philippe Costamagna.
Il a aussi indiqué que l'employé indélicat comparaîtrait prochainement devant une commission de discipline pour son geste déplacé.
Première reconstitution d'un bivouac impérial, cette exposition se déroule du 13 février au 12 mai autour de l'unique tente de campagne conservée de Napoléon.
La plupart des meubles, généralement pliants (lit, tables, sièges, commodes) proviennent du Mobilier national, partenaire de l'exposition.
D'autres meubles, des accessoires et des éléments de décoration (tableaux, accessoires, nécessaires de toilette, vaisselle) ont été prêtés par le Musée de l'Armée, les châteaux de Fontainebleau et Versailles et les Archives nationales.
Gardé secret, l'incident révélé lundi par la presse locale, s'est déroulé jeudi dernier au Palais Fesch-Musée des Beaux-Arts, au coeur historique de la Cité impériale.
Se prenant peut-être, l'histoire ne le dit pas, pour le plus illustre des fils d'Ajaccio, l'employé du Palais Fesch a déposé son postérieur sur ce fauteuil pliant en bois et cuir de 1808, identique aux sièges des metteurs en scène de cinéma.
Mais, comme par un effet de crime de lèse-majesté, le cuir rouge de l'assise du fauteuil appartenant au Mobilier national s'est déchiré sous le poids de l'employé facétieux et les montants de bois ont été détériorés.
Une restauratrice spécialisée a été urgemment dépêchée de Grenoble pour venir rendre son lustre au fauteuil impérial présenté avec plus de 70 autres objets à l'exposition "Napoléon au bivouac".
"Cet incident a la mérite d'avoir très bien fait restaurer ce fauteuil, qui l'avait déjà été antérieurement, mais moins bien", a déclaré le conservateur du Palais Fesch-Musée des Beaux-Arts d'Ajaccio, Philippe Costamagna.
Il a aussi indiqué que l'employé indélicat comparaîtrait prochainement devant une commission de discipline pour son geste déplacé.
Première reconstitution d'un bivouac impérial, cette exposition se déroule du 13 février au 12 mai autour de l'unique tente de campagne conservée de Napoléon.
La plupart des meubles, généralement pliants (lit, tables, sièges, commodes) proviennent du Mobilier national, partenaire de l'exposition.
D'autres meubles, des accessoires et des éléments de décoration (tableaux, accessoires, nécessaires de toilette, vaisselle) ont été prêtés par le Musée de l'Armée, les châteaux de Fontainebleau et Versailles et les Archives nationales.