Bordeaux, France | AFP | mercredi 25/09/2019 - "Vous avez été choisi pour sauver la planète Terre": un jeu d'équipe en forme d'"escape game" ouvre ses portes dimanche à Bordeaux pour faire comprendre, en s'amusant mais sur la base de réelles données scientifiques, les enjeux du dérèglement climatique.
Gaïactica "qui réunit la science et le jeu" a pour objectif, outre de faire comprendre le réchauffement climatique, "d'offrir aux joueurs la capacité de prendre les bonnes décisions, de dire +je joue+ mais aussi de provoquer une prise de conscience", selon son concepteur, Dorian Tourin-Lebret, qui présentait mercredi le jeu à la presse.
Pendant 60 minutes, un équipage de 3 à 9 joueurs prend place dans un centre de commande de vaisseau spatial où il va vivre un voyage dans le temps jusqu'en 2100. Sa mission: limiter le réchauffement climatique à 2%.
Dans le vaisseau, s'affichent sur plusieurs écrans surplombant une planète Terre, des questions liées à quatre thèmes -- énergie, transport, alimentation et bâtiment -- sur lesquels les joueurs devront influer en élucidant des énigmes, en déchiffrant des mots codés, en s'échappant de labyrinthes, etc.
"Plus de 10.000 solutions sont possibles", selon le jeune ingénieur centralien de 31 ans qui, après avoir créé une start-up à succès il y a une dizaine d'années, a décidé de se consacrer à des projets liés à l'environnement.
Tous les scénarios, validés par le climatologue Jean Jouzel, se basent sur des chiffres du GIEC, les experts climat de l'ONU, de l'Agence internationale de l'énergie et du Global Carbone Project qui compilent les données concernant les ressources en énergie et les émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
Gaïactica, déjà présenté lors du G7 de Biarritz fin août, le sera à nouveau en novembre au Chili lors de la cop25.
Installé à Cap Sciences, un lieu d'expositions scientifiques qui réunit partenaires divers dont les universités et collectivités locales, le jeu est soutenu par la Région Nouvelle Aquitaine qui finance la moitié des 300.000 euros de budget et le rectorat.
Gaïactica "qui réunit la science et le jeu" a pour objectif, outre de faire comprendre le réchauffement climatique, "d'offrir aux joueurs la capacité de prendre les bonnes décisions, de dire +je joue+ mais aussi de provoquer une prise de conscience", selon son concepteur, Dorian Tourin-Lebret, qui présentait mercredi le jeu à la presse.
Pendant 60 minutes, un équipage de 3 à 9 joueurs prend place dans un centre de commande de vaisseau spatial où il va vivre un voyage dans le temps jusqu'en 2100. Sa mission: limiter le réchauffement climatique à 2%.
Dans le vaisseau, s'affichent sur plusieurs écrans surplombant une planète Terre, des questions liées à quatre thèmes -- énergie, transport, alimentation et bâtiment -- sur lesquels les joueurs devront influer en élucidant des énigmes, en déchiffrant des mots codés, en s'échappant de labyrinthes, etc.
"Plus de 10.000 solutions sont possibles", selon le jeune ingénieur centralien de 31 ans qui, après avoir créé une start-up à succès il y a une dizaine d'années, a décidé de se consacrer à des projets liés à l'environnement.
Tous les scénarios, validés par le climatologue Jean Jouzel, se basent sur des chiffres du GIEC, les experts climat de l'ONU, de l'Agence internationale de l'énergie et du Global Carbone Project qui compilent les données concernant les ressources en énergie et les émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
Gaïactica, déjà présenté lors du G7 de Biarritz fin août, le sera à nouveau en novembre au Chili lors de la cop25.
Installé à Cap Sciences, un lieu d'expositions scientifiques qui réunit partenaires divers dont les universités et collectivités locales, le jeu est soutenu par la Région Nouvelle Aquitaine qui finance la moitié des 300.000 euros de budget et le rectorat.