« Connaître le passé pour mieux comprendre le présent et gérer le futur », tel est l’objet d’un symposium scientifique international et pluridisciplinaire intitulé « Paléo- et Néo-écologie en Polynésie française », organisée du 29 novembre au 1er décembre 2011 à Mo’orea par le ministère de l’éducation, de la jeunesse et des sports en partenariat avec l’Université de Californie à Berkeley, l’Université de la Polynésie française et avec l’appui de l’association Proscience Te Turu ‘Ihi.
La trentaine de chercheurs en provenance d’Australie, France, Etats-Unis, Hawai’i, Nouvelle-Zélande et de Polynésie française, exposerons les résultats de leurs travaux menés en Polynésie française et dans d’autres îles du Pacifique depuis plusieurs décennies.
Bien que spécialisés dans des disciplines scientifiques aussi différentes que la paléontologie, l’archéologie, l’écologie marine ou l’écologie terrestre, ces chercheurs ont un objectif commun : comprendre les changements du passé et du présent liés aux impacts humains et leurs conséquences sur la biodiversité comme la modification des paysages, l’extinction d’espèces indigènes et endémiques (oiseaux, plantes, insectes…), l’introduction et invasions d’espèces allochtones, afin de mieux préserver et gérer nos ressources naturelles dans le futur, face à des changements globaux et rapides qui touchent nos écosystèmes et nos sociétés.
L’inauguration du colloque et une journée publique de conférences aura lieu le mardi 29 novembre 2011, à 8h30, à la station de recherche Richard B. Gump, à Moorea.
Les chercheurs discuterons de leurs résultats lors d’ateliers de travail le mercredi 30 et le jeudi 1er décembre, et une synthèse de leurs travaux sera restituée aux autorités locales le jeudi 1er décembre à 15h.
La trentaine de chercheurs en provenance d’Australie, France, Etats-Unis, Hawai’i, Nouvelle-Zélande et de Polynésie française, exposerons les résultats de leurs travaux menés en Polynésie française et dans d’autres îles du Pacifique depuis plusieurs décennies.
Bien que spécialisés dans des disciplines scientifiques aussi différentes que la paléontologie, l’archéologie, l’écologie marine ou l’écologie terrestre, ces chercheurs ont un objectif commun : comprendre les changements du passé et du présent liés aux impacts humains et leurs conséquences sur la biodiversité comme la modification des paysages, l’extinction d’espèces indigènes et endémiques (oiseaux, plantes, insectes…), l’introduction et invasions d’espèces allochtones, afin de mieux préserver et gérer nos ressources naturelles dans le futur, face à des changements globaux et rapides qui touchent nos écosystèmes et nos sociétés.
L’inauguration du colloque et une journée publique de conférences aura lieu le mardi 29 novembre 2011, à 8h30, à la station de recherche Richard B. Gump, à Moorea.
Les chercheurs discuterons de leurs résultats lors d’ateliers de travail le mercredi 30 et le jeudi 1er décembre, et une synthèse de leurs travaux sera restituée aux autorités locales le jeudi 1er décembre à 15h.