Bucarest, Roumanie | AFP | jeudi 22/03/2018 - Un Roumain décédé l'année dernière a recouvré à titre posthume son permis de conduire en vertu d'une décision rendue par un tribunal de Iasi (nord-est), quelques jours après qu'un compatriote, bien vivant celui-là, avait échoué à convaincre la justice qu'il n'était pas mort.
Valerian Vasiliu avait contesté en mars 2017 la suspension de son permis de conduire et une amende d'environ 150 euros pour excès de vitesse.
Il avait gagné en première instance mais était mort quelques jours plus tard.
Son décès n'a toutefois pas impressionné la police, qui a fait appel, avant de se voir déboutée une deuxième fois.
Dans son jugement rapporté par la presse, le tribunal a "exonéré le requérant de toutes les sanctions et restitué l'amende" qu'il avait payé de son vivant.
La semaine dernière, un Roumain avait échoué à convaincre un tribunal de Vaslui (nord-est) qu'il était vivant, bien qu'il se fut présenté en chair et os devant les juges.
Constantin Reliu, 63 ans, avait été déclaré mort en 2016 par sa famille, qui n'avait plus reçu de signe de vie de lui depuis plusieurs années.
C'est en rentrant de Turquie en janvier que M. Reliu avait découvert qu'il figurait comme décédé.
Sa demande d'annulation du certificat de décès ayant été rejetée, le sexagénaire cherche désespérément un autre moyen légal pour revenir de chez les "morts" et surtout pour rester en vie, dès lors qu'il ne peut ni être embauché ni bénéficier de prestations sociales.
Valerian Vasiliu avait contesté en mars 2017 la suspension de son permis de conduire et une amende d'environ 150 euros pour excès de vitesse.
Il avait gagné en première instance mais était mort quelques jours plus tard.
Son décès n'a toutefois pas impressionné la police, qui a fait appel, avant de se voir déboutée une deuxième fois.
Dans son jugement rapporté par la presse, le tribunal a "exonéré le requérant de toutes les sanctions et restitué l'amende" qu'il avait payé de son vivant.
La semaine dernière, un Roumain avait échoué à convaincre un tribunal de Vaslui (nord-est) qu'il était vivant, bien qu'il se fut présenté en chair et os devant les juges.
Constantin Reliu, 63 ans, avait été déclaré mort en 2016 par sa famille, qui n'avait plus reçu de signe de vie de lui depuis plusieurs années.
C'est en rentrant de Turquie en janvier que M. Reliu avait découvert qu'il figurait comme décédé.
Sa demande d'annulation du certificat de décès ayant été rejetée, le sexagénaire cherche désespérément un autre moyen légal pour revenir de chez les "morts" et surtout pour rester en vie, dès lors qu'il ne peut ni être embauché ni bénéficier de prestations sociales.