Brest, France | AFP | vendredi 26/06/2015 - Ce n'est pas un empereur, mais il se nomme Napoléon: le parc Océanopolis de Brest accueille depuis peu un représentant de cette espèce de poissons, impressionnante par sa taille et sa morphologie, mais sensible à la pêche intensive.
"Les Napoléons sont des poissons qui font l'objet d'une pêche commerciale assez intense, notamment dans les pays d'Asie du Sud-Est", a expliqué vendredi à l'AFP Dominique Barthélémy, responsable de l'aquariologie au parc marin.
"Depuis une dizaine d'années, le Napoléon a été inscrit à l'annexe 2 de la Convention de Washington qui vise à réglementer et contrôler le commerce des espèces dont la protection doit être envisagée", a ajouté le spécialiste.
Grosses lèvres charnues, bosse proéminente sur le front et yeux globuleux effectuant des mouvements indépendants l'un de l'autre: le Napoléon accueilli à Brest ne laisse pas indifférent le visiteur, impressionné également par son mètre vingt de long.
"Il s'agit vraisemblablement d'un des plus gros spécimens qu'il y ait en France en aquarium", souligne M. Barthélémy. "C'est un animal qui est assez impressionnant et qui attire le regard", poursuit l'expert, soulignant "son regard très expressif". "On a l'impression qu'il nous regarde et qu'il s'intéresse à nous", ajoute-t-il, faisant état d'une "forte interaction" entre le poisson et les soigneurs.
Agé de 17 ans, sa robe est bleue et verte avec des traits au niveau de la tête formant des dessins géométriques. Il arrive tout droit d'Australie, où la pêche commerciale est totalement interdite.
Le Napoléon est le plus gros représentant de la famille des labridés, pouvant atteindre une taille de 2m30 pour 200 kg. Il fréquente essentiellement les récifs coralliens et les lagons, dans les zones tropicales de l'océan Indien et de l'Ouest du Pacifique.
Assez territorial et casanier, il ne devrait pas rencontrer de difficultés pour s'adapter à son nouvel habitat, un aquarium d'un volume de 200 m3, situé dans le pavillon tropical du parc de découverte des océans.
"Les Napoléons sont des poissons qui font l'objet d'une pêche commerciale assez intense, notamment dans les pays d'Asie du Sud-Est", a expliqué vendredi à l'AFP Dominique Barthélémy, responsable de l'aquariologie au parc marin.
"Depuis une dizaine d'années, le Napoléon a été inscrit à l'annexe 2 de la Convention de Washington qui vise à réglementer et contrôler le commerce des espèces dont la protection doit être envisagée", a ajouté le spécialiste.
Grosses lèvres charnues, bosse proéminente sur le front et yeux globuleux effectuant des mouvements indépendants l'un de l'autre: le Napoléon accueilli à Brest ne laisse pas indifférent le visiteur, impressionné également par son mètre vingt de long.
"Il s'agit vraisemblablement d'un des plus gros spécimens qu'il y ait en France en aquarium", souligne M. Barthélémy. "C'est un animal qui est assez impressionnant et qui attire le regard", poursuit l'expert, soulignant "son regard très expressif". "On a l'impression qu'il nous regarde et qu'il s'intéresse à nous", ajoute-t-il, faisant état d'une "forte interaction" entre le poisson et les soigneurs.
Agé de 17 ans, sa robe est bleue et verte avec des traits au niveau de la tête formant des dessins géométriques. Il arrive tout droit d'Australie, où la pêche commerciale est totalement interdite.
Le Napoléon est le plus gros représentant de la famille des labridés, pouvant atteindre une taille de 2m30 pour 200 kg. Il fréquente essentiellement les récifs coralliens et les lagons, dans les zones tropicales de l'océan Indien et de l'Ouest du Pacifique.
Assez territorial et casanier, il ne devrait pas rencontrer de difficultés pour s'adapter à son nouvel habitat, un aquarium d'un volume de 200 m3, situé dans le pavillon tropical du parc de découverte des océans.