Varsovie, Pologne | | lundi 16/03/2015 - Les gardes-frontières polonais ont annoncé lundi avoir interpellé un citoyen français transportant sa femme russe au fond d'une valise, pour tenter de la faire entrer sur le territoire de l'Union européenne.
"Une très grande valise appartenant à un citoyen français a attiré l'attention de nos agents au poste ferroviaire de Terespol. A leur surprise, une femme d'une trentaine d'année en est sortie. C'était l'épouse russe du propriétaire de la valise", a indiqué à l'AFP Dariusz Sienicki, porte-parole des gardes-frontières.
"Elle était en bonne forme et ne n'avait pas besoin de soins médicaux", a précisé M. Sienicki.
Interrogés au poste frontalier polono-bélarusse de Terespol, les deux époux ont été vite relâchés et ont décidé de retourner en Bélarus.
En prenant à Moscou le train pour Nice, le sexagénaire français, dont l'identité n'a pas été révélée, ignorait que son épouse avait bien le droit d'entrer avec lui dans l'espace Schengen.
"Si elle voyageait assise à côté de son mari elle serait passée sans problème. Mais pour la tentative d'éviter le contrôle à la frontière, les deux époux risquaient une peine de trois ans de prison", a commenté M. Sienicki.
"Une très grande valise appartenant à un citoyen français a attiré l'attention de nos agents au poste ferroviaire de Terespol. A leur surprise, une femme d'une trentaine d'année en est sortie. C'était l'épouse russe du propriétaire de la valise", a indiqué à l'AFP Dariusz Sienicki, porte-parole des gardes-frontières.
"Elle était en bonne forme et ne n'avait pas besoin de soins médicaux", a précisé M. Sienicki.
Interrogés au poste frontalier polono-bélarusse de Terespol, les deux époux ont été vite relâchés et ont décidé de retourner en Bélarus.
En prenant à Moscou le train pour Nice, le sexagénaire français, dont l'identité n'a pas été révélée, ignorait que son épouse avait bien le droit d'entrer avec lui dans l'espace Schengen.
"Si elle voyageait assise à côté de son mari elle serait passée sans problème. Mais pour la tentative d'éviter le contrôle à la frontière, les deux époux risquaient une peine de trois ans de prison", a commenté M. Sienicki.