OTTAWA, 13 juin 2014 (AFP) - Un Canadien accuse un hôpital de la région de Montréal d'avoir ruiné son mariage et sa vie sexuelle lors d'une opération chirurgicale bâclée qui, selon lui, a raccourci son pénis de 2,5 cm, rapportent des médias locaux.
L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée, a expliqué au groupe de journaux Sun Media qu'il s'était blessé à la verge en plein ébat avec sa femme, à l'été 2011. Transporté dans un hôpital de la banlieue de Montréal, il s'est fait diagnostiquer un "traumatisme mineur" et n'a pas été opéré.
Mais, incapable d'avoir une relation sexuelle dans les semaines suivantes, il a de nouveau consulté un médecin, qui lui a cette fois diagnostiqué une fracture du pénis.
L'intervention chirurgicale qui a suivi a toutefois entraîné une "cicatrice permanente" sur sa verge, dont la longueur a été raccourcie d'"environ un pouce", soit 2,5 cm, affirme le malheureux patient.
Incapable d'avoir la moindre relation sexuelle durant deux ans, il a ensuite vu sa femme exiger le divorce.
Selon le document judiciaire déposé la semaine dernière, il demande à l'hôpital en cause 155.000 dollars, l'accusant de "négligence".
L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée, a expliqué au groupe de journaux Sun Media qu'il s'était blessé à la verge en plein ébat avec sa femme, à l'été 2011. Transporté dans un hôpital de la banlieue de Montréal, il s'est fait diagnostiquer un "traumatisme mineur" et n'a pas été opéré.
Mais, incapable d'avoir une relation sexuelle dans les semaines suivantes, il a de nouveau consulté un médecin, qui lui a cette fois diagnostiqué une fracture du pénis.
L'intervention chirurgicale qui a suivi a toutefois entraîné une "cicatrice permanente" sur sa verge, dont la longueur a été raccourcie d'"environ un pouce", soit 2,5 cm, affirme le malheureux patient.
Incapable d'avoir la moindre relation sexuelle durant deux ans, il a ensuite vu sa femme exiger le divorce.
Selon le document judiciaire déposé la semaine dernière, il demande à l'hôpital en cause 155.000 dollars, l'accusant de "négligence".