WASHINGTON, 21 août 2012 (AFP) - Les Etats-Unis ont commencé à tester sur des véhicules mardi dans le Michigan (nord) la technologie sans fil wifi pour tenter de réduire le nombre d'accidents de la route.
Le projet, financé par des fonds publics du ministère des Transports, permettra aux véhicules et aux infrastructures de transport de "dialoguer" en temps réel, dans le but de prévenir les risques d'accidents et d'améliorer la fluidité du trafic, a indiqué le ministère américain.
Des voitures, des camions et des bus conduits par des volontaires seront équipés d'appareils connectés en wifi qui recenseront plusieurs données.
Les chauffeurs pourront être par exemple prévenus de risques particuliers de collision à un croisement aveugle, du changement de file d'un véhicule à un endroit difficile, ou d'un risque de choc avec une voiture à l'arrêt.
Ce premier test en conditions réelles sera mené par l'Institut de recherche sur les transports de l'université du Michigan (University of Michigan's Transportation Research Institute, UMTRI).
La Sécurité routière américaine (National Highway Traffic Safety Administration, NHTSA) utilisera ensuite les résultats de ces tests "pour décider si et quand ces technologies seront incorporées" aux véhicules à plus grande échelle, a précisé David Strickland, son directeur.
Le projet, financé par des fonds publics du ministère des Transports, permettra aux véhicules et aux infrastructures de transport de "dialoguer" en temps réel, dans le but de prévenir les risques d'accidents et d'améliorer la fluidité du trafic, a indiqué le ministère américain.
Des voitures, des camions et des bus conduits par des volontaires seront équipés d'appareils connectés en wifi qui recenseront plusieurs données.
Les chauffeurs pourront être par exemple prévenus de risques particuliers de collision à un croisement aveugle, du changement de file d'un véhicule à un endroit difficile, ou d'un risque de choc avec une voiture à l'arrêt.
Ce premier test en conditions réelles sera mené par l'Institut de recherche sur les transports de l'université du Michigan (University of Michigan's Transportation Research Institute, UMTRI).
La Sécurité routière américaine (National Highway Traffic Safety Administration, NHTSA) utilisera ensuite les résultats de ces tests "pour décider si et quand ces technologies seront incorporées" aux véhicules à plus grande échelle, a précisé David Strickland, son directeur.