Washington, Etats-Unis | AFP | mercredi 27/02/2018 - Une enveloppe contenant une "substance inconnue" a été ouverte mardi sur une base militaire américaine près de Washington, à la suite de quoi onze personnes se sont senties mal, ont rapporté des responsables des Marines.
Le courrier avait été envoyé à la base Myer-Henderson Hall, dont un bâtiment a été évacué, a déclaré le corps militaire dans un communiqué.
"Plusieurs Marines sont en train d'être soignés après cet incident" et "l'enquête est en cours", avait écrit le corps des Marines sur son compte Twitter.
Les pompiers d'Arlington ont tweeté que "onze personnes ont commencé à se sentir mal après l'ouverture d'une lettre" sur la base.
"Les responsables de la police de la base travaillent avec des personnels habilités à manipuler les matières dangereuses, le NCIS (bureau d'investigation criminelle de la Marine) et le FBI. Le bâtiment a été évalué et évacué", est-il indiqué dans le communiqué.
Trois militaires ont expliqué à la chaîne CNN avoir ressenti des "sensations de brûlure" sur les mains et le visage.
"Il est bien trop tôt pour spéculer sur cela, nous devons attendre et laisser les enquêteurs faire leur travail", a indiqué à l'AFP le porte-parole des Marines, Brian Block, expliquant qu'il était impossible de dire à ce stade s'il s'agissait ou non d'une attaque terroriste.
Le courrier avait été envoyé à la base Myer-Henderson Hall, dont un bâtiment a été évacué, a déclaré le corps militaire dans un communiqué.
"Plusieurs Marines sont en train d'être soignés après cet incident" et "l'enquête est en cours", avait écrit le corps des Marines sur son compte Twitter.
Les pompiers d'Arlington ont tweeté que "onze personnes ont commencé à se sentir mal après l'ouverture d'une lettre" sur la base.
"Les responsables de la police de la base travaillent avec des personnels habilités à manipuler les matières dangereuses, le NCIS (bureau d'investigation criminelle de la Marine) et le FBI. Le bâtiment a été évalué et évacué", est-il indiqué dans le communiqué.
Trois militaires ont expliqué à la chaîne CNN avoir ressenti des "sensations de brûlure" sur les mains et le visage.
"Il est bien trop tôt pour spéculer sur cela, nous devons attendre et laisser les enquêteurs faire leur travail", a indiqué à l'AFP le porte-parole des Marines, Brian Block, expliquant qu'il était impossible de dire à ce stade s'il s'agissait ou non d'une attaque terroriste.