Washington, Etats-Unis | AFP | mardi 07/04/2020 - Donald Trump a menacé mardi de suspendre la contribution américaine à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), dénonçant sa gestion de la pandémie du coronavirus et une attitude à ses yeux trop favorable à Pékin.
"Nous allons suspendre (le versement) des sommes destinées à l'OMS", a déclaré le président des Etats-Unis lors de son point de presse quotidien depuis la Maison Blanche. Quelques minutes plus tard, cependant, il a fait machine arrière dans une certaine confusion, en affirmant qu'il souhaitait seulement étudier cette possibilité. "Je ne dis que pas que je vais le faire mais nous allons examiner cette possibilité", a-t-il déclaré, contre-disant sa déclaration initiale.
Objet de la frustration présidentielle vis-à-vis de cette agence de l'ONU dont le siège est à Genève? Son attitude vis-à-vis de Pékin. "Tout semble très favorable à la Chine, ce n'est pas acceptable", a-t-il déclaré.
"Ils reçoivent des sommes énormes de la part des Etats-Unis", a-t-il insisté. "Ils ont critiqué la fermeture des frontières (aux personnes venues de Chine) quand je l'ai annoncée, et ils ont eu tort", a-t-il ajouté.
"Ils ont eu tort sur beaucoup de choses", a-t-il martelé, sans donner plus de précisions.
Le milliardaire républicain avait déjà rédigé mardi matin un tweet particulièrement virulent à l'encontre de l'organisation.
"L'OMS s'est vraiment plantée", a-t-il écrit.
"Etrangement, ils sont largement financés par les Etats-Unis et pourtant très centrés sur la Chine. Nous allons nous pencher avec attention sur le dossier", avait-il ajouté.
"Nous allons suspendre (le versement) des sommes destinées à l'OMS", a déclaré le président des Etats-Unis lors de son point de presse quotidien depuis la Maison Blanche. Quelques minutes plus tard, cependant, il a fait machine arrière dans une certaine confusion, en affirmant qu'il souhaitait seulement étudier cette possibilité. "Je ne dis que pas que je vais le faire mais nous allons examiner cette possibilité", a-t-il déclaré, contre-disant sa déclaration initiale.
Objet de la frustration présidentielle vis-à-vis de cette agence de l'ONU dont le siège est à Genève? Son attitude vis-à-vis de Pékin. "Tout semble très favorable à la Chine, ce n'est pas acceptable", a-t-il déclaré.
"Ils reçoivent des sommes énormes de la part des Etats-Unis", a-t-il insisté. "Ils ont critiqué la fermeture des frontières (aux personnes venues de Chine) quand je l'ai annoncée, et ils ont eu tort", a-t-il ajouté.
"Ils ont eu tort sur beaucoup de choses", a-t-il martelé, sans donner plus de précisions.
Le milliardaire républicain avait déjà rédigé mardi matin un tweet particulièrement virulent à l'encontre de l'organisation.
"L'OMS s'est vraiment plantée", a-t-il écrit.
"Etrangement, ils sont largement financés par les Etats-Unis et pourtant très centrés sur la Chine. Nous allons nous pencher avec attention sur le dossier", avait-il ajouté.