NANCY, 7 juin 2011 (AFP) - Trois étudiants de Nancy ont lancé sur un site internet une ligne de t-shirts de soutien à Dominique Strauss-Kahn, ont-ils affirmé mardi à l'AFP.
Plusieurs modèles sont proposés, arborant par exemple une photo de l'ancien directeur général du FMI en quadrichromie sous titrée par la mention "Libre", ou encore un sobre "Free DSK", leur meilleure vente selon l'un des étudiants, Peter Cadorin.
Ce dernier a expliqué à l'AFP être étudiant en licence à la faculté d'économie de Nancy, là où Dominique Strauss-Kahn a enseigné il y a une trentaine d'années.
"On ne sait pas si on aurait voté pour lui, mais on trouve le traitement par la presse américaine choquant", dit cet étudiant, qui affirme ne pas être adhérent du Parti socialiste.
"Certains nous disent que c'est honteux, que nous manquons de respect envers la plaignante. Mais nous ne parlons pas d'elle, nous ne parlons que de DSK", se défend-t-il.
Depuis le lancement de leur ligne en partenariat avec un site internet, les trois étudiants, âgés de 22 ans, ont vendu près de 500 t-shirts, "avec une pointe de 100 t-shirts le lundi 6 juin lors de la comparution (de DSK) devant le tribunal de New York", a affirmé M. Cadorin.
Sur leur site, dsk-support.com, certains modèles provocateurs, tels "No jail for DSK" ("Pas de prison pour DSK") avec un plumeau pour le "i", leur ont valu des protestations, admettent les étudiants.
pab/gl/cyj/df
Plusieurs modèles sont proposés, arborant par exemple une photo de l'ancien directeur général du FMI en quadrichromie sous titrée par la mention "Libre", ou encore un sobre "Free DSK", leur meilleure vente selon l'un des étudiants, Peter Cadorin.
Ce dernier a expliqué à l'AFP être étudiant en licence à la faculté d'économie de Nancy, là où Dominique Strauss-Kahn a enseigné il y a une trentaine d'années.
"On ne sait pas si on aurait voté pour lui, mais on trouve le traitement par la presse américaine choquant", dit cet étudiant, qui affirme ne pas être adhérent du Parti socialiste.
"Certains nous disent que c'est honteux, que nous manquons de respect envers la plaignante. Mais nous ne parlons pas d'elle, nous ne parlons que de DSK", se défend-t-il.
Depuis le lancement de leur ligne en partenariat avec un site internet, les trois étudiants, âgés de 22 ans, ont vendu près de 500 t-shirts, "avec une pointe de 100 t-shirts le lundi 6 juin lors de la comparution (de DSK) devant le tribunal de New York", a affirmé M. Cadorin.
Sur leur site, dsk-support.com, certains modèles provocateurs, tels "No jail for DSK" ("Pas de prison pour DSK") avec un plumeau pour le "i", leur ont valu des protestations, admettent les étudiants.
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