PAPEARI, le 6 avril 2014. Après un report en raison des intempéries, la 5ème édition du Triathlon Gauguin a enfin eu lieu. Pour certains c’est le ‘plus beau triathlon de l’année’. Cette compétition de Triathlon a proposé trois disciplines : la natation, le vélo et la course à pied qui se sont déroulées dans le jardin Botanique de Papeari et ses environs.
La course pouvait se faire par équipe avec un athlète par discipline ou en individuel en réalisant seul les trois disciplines. En individuel sénior 4 c’est Yoann Hotellier qui s’est imposé en effectuent les 1500 m de natation, 40 km à vélo et 10 km à pied en 2H07’22’’, faisant ainsi son grand retour à la compétition après une période d’arrêt.
En senior 3 c’est Mike Cowan le cycliste qui gagne dans sa catégorie alors que par équipe c’est Yannick Cowan, Laurent Legoff et David Ferry (Sunzil) qui terminent premiers. Une formule pour les ados et une pour les 10-13 ans était également proposée par Kona Tri, le club organisateur et sa présidente Yasmina Chenel. Les tortues centenaires du jardin ont ainsi pu voir un peu d’action !
La course pouvait se faire par équipe avec un athlète par discipline ou en individuel en réalisant seul les trois disciplines. En individuel sénior 4 c’est Yoann Hotellier qui s’est imposé en effectuent les 1500 m de natation, 40 km à vélo et 10 km à pied en 2H07’22’’, faisant ainsi son grand retour à la compétition après une période d’arrêt.
En senior 3 c’est Mike Cowan le cycliste qui gagne dans sa catégorie alors que par équipe c’est Yannick Cowan, Laurent Legoff et David Ferry (Sunzil) qui terminent premiers. Une formule pour les ados et une pour les 10-13 ans était également proposée par Kona Tri, le club organisateur et sa présidente Yasmina Chenel. Les tortues centenaires du jardin ont ainsi pu voir un peu d’action !
Yoann Hotellier, triathlète et vice président de Kona Tri :
« Cela fait 20 ans que je fais du triathlon, j’ai 8 années de championnat de Polynésie. J’ai arrêté la compétition depuis 2008. C’est mon premier depuis 2009. Je m’occupe des jeunes de la sélection des 16-17 ans. Je m’étais dit ‘on va voir ce que ça donne’. C’est donc une surprise pour moi de gagner aujourd’hui. »
« Pourquoi revenir ? Le triathlon pour moi c’est viscéral et puis on va faire une course à Rarotonga, j’aimerai être un minimum préparé. L’entraînement passe par des courses de réglage. »
« C’est un super site, la plan natation était parfait, lisse, pas de courant, super visibilité, très agréable pour les mauvais nageurs comme moi. Le parcours vélo était bien sécurisé, le vent s’est levé au fur et à mesure donc il fallait gérer avec le vent. Le parcours à pied : je suis ‘trailer’ plutôt que coureur sur route donc les parcours comme ça en forêt j’adore. Cela me paraît être un super bon compromis, avec la température idéale, la petite goutte de pluie, c’était parfait. »
« On a un super spot pour ce triathlon Gauguin, c’est compliqué de l’organiser car on doit négocier avec le territoire mais c’est un des très beaux triathlons de l’année. J’adore le vélo, j’adore la course à pied, je me suis mis à aimer la natation. On varie les entraînements, c’est un sport individuel qui se pratique en équipe, je m’entraîne toujours avec les copains de l’époque, ceux de la sélection. »
« La souffrance ? C’est dans la tête, il faut se connaître. Je n’aurai jamais du gagner, sauf que je me connais super bien, je suis capable de savoir sans compteur où est ce que j’en suis et je me cale juste en dessous de la ‘ligne’. Si tu es au dessus, tu exploses et là ça devient très long. Ce n’est pas de la souffrance, c’est beaucoup d’entraînement. Il faut venir préparé alors tout devient possible. » SB
« Cela fait 20 ans que je fais du triathlon, j’ai 8 années de championnat de Polynésie. J’ai arrêté la compétition depuis 2008. C’est mon premier depuis 2009. Je m’occupe des jeunes de la sélection des 16-17 ans. Je m’étais dit ‘on va voir ce que ça donne’. C’est donc une surprise pour moi de gagner aujourd’hui. »
« Pourquoi revenir ? Le triathlon pour moi c’est viscéral et puis on va faire une course à Rarotonga, j’aimerai être un minimum préparé. L’entraînement passe par des courses de réglage. »
« C’est un super site, la plan natation était parfait, lisse, pas de courant, super visibilité, très agréable pour les mauvais nageurs comme moi. Le parcours vélo était bien sécurisé, le vent s’est levé au fur et à mesure donc il fallait gérer avec le vent. Le parcours à pied : je suis ‘trailer’ plutôt que coureur sur route donc les parcours comme ça en forêt j’adore. Cela me paraît être un super bon compromis, avec la température idéale, la petite goutte de pluie, c’était parfait. »
« On a un super spot pour ce triathlon Gauguin, c’est compliqué de l’organiser car on doit négocier avec le territoire mais c’est un des très beaux triathlons de l’année. J’adore le vélo, j’adore la course à pied, je me suis mis à aimer la natation. On varie les entraînements, c’est un sport individuel qui se pratique en équipe, je m’entraîne toujours avec les copains de l’époque, ceux de la sélection. »
« La souffrance ? C’est dans la tête, il faut se connaître. Je n’aurai jamais du gagner, sauf que je me connais super bien, je suis capable de savoir sans compteur où est ce que j’en suis et je me cale juste en dessous de la ‘ligne’. Si tu es au dessus, tu exploses et là ça devient très long. Ce n’est pas de la souffrance, c’est beaucoup d’entraînement. Il faut venir préparé alors tout devient possible. » SB
