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MATA’UTU, lundi 15 octobre 2012 (Flash d’Océanie) – Le Conseil des Jeux du Pacifique, dont les membres ont commencé à converger dès ce week-end à Wallis-et-Futuna, devrait se prononcer le 19 octobre 2012 afin de déterminer lequel des deux candidats, Tonga ou la Polynésie française, sera choisi pour héberger l’édition 2019 des Jeux du Pacifique.
Alors que de l’avis général, les deux candidatures ont été très bien préparées pour séduire les membres de cet organe suprême des Jeux, les réunions à proprement parler devraient débuter en milieu de semaine.
Le directeur exécutif du Conseil des Jeux, l’Australien Andrew Minogue, interrogé par la presse régionale, ne s’est pas risqué à se prononcer en faveur de l’un ou de l’autre des deux candidats.
Il a toutefois prédit que le score serait « relativement serré.
« Tonga avait déjà postulé pour les Jeux de 2015 (qui auront finalement lieu en Papouasie-Nouvelle-Guinée) et ils avaient perdu de peu, alors autant vous dire qu’ils sont particulièrement déterminés pour ces Jeux 2019 », a-t-il confié à Radio Australie.
« Mais il y a aussi Tahiti. Ils ont décroché les Jeux deux fois auparavant, ils savent comment préparer une candidature de manière très professionnelles », a-t-il nuancé.
Au plan de l’historique récent des Jeux, l’édition 2011 de cette compétition quasi-olympique s’est déroulée en Nouvelle-Calédonie.
Les mini-Jeux 2013 auront lieu à Wallis-et-Futuna.
L’accueil, consécutivement, de ces deux compétitions dans deux collectivités françaises du Pacifique, combiné à l’échec de Tonga lors de sa toute récente candidature pour les Jeux 2015, pourraient jouer en faveur de Tonga, confie-t-on de source proche du dossier.
Après sa réunion de cette semaine, le Conseil des Jeux du Pacifique, organisme qui régit la tenue et l’organisation de cet événement océanien, a effectué sur place des visites, en juin 2012, en Polynésie française et à Tonga.
À l’issue de ces visites, le Conseil a émis des recommandations concernant le format de ces candidatures et a demandé un « dossier annexe », depuis transmis par les deux gouvernements concernés.
Le royaume de Tonga avait auparavant accueilli, une fois, les Mini-jeu du Pacifique, en 1989.
En mai 2012, il évoquait un budget prévisionnel, dans son dossier de candidature, de l’ordre de 70 millions de dollars US, avec une aide de la Chine pour la construction d’un stade supplémentaire.
Les prochains mini-Jeux du Pacifique, ceux de 2013, devraient avoir lieu à Wallis-et-Futuna, avec un appui logistique important venu de la Nouvelle-Calédonie voisine et forte de l’expérience de 2011.
pad
Alors que de l’avis général, les deux candidatures ont été très bien préparées pour séduire les membres de cet organe suprême des Jeux, les réunions à proprement parler devraient débuter en milieu de semaine.
Le directeur exécutif du Conseil des Jeux, l’Australien Andrew Minogue, interrogé par la presse régionale, ne s’est pas risqué à se prononcer en faveur de l’un ou de l’autre des deux candidats.
Il a toutefois prédit que le score serait « relativement serré.
« Tonga avait déjà postulé pour les Jeux de 2015 (qui auront finalement lieu en Papouasie-Nouvelle-Guinée) et ils avaient perdu de peu, alors autant vous dire qu’ils sont particulièrement déterminés pour ces Jeux 2019 », a-t-il confié à Radio Australie.
« Mais il y a aussi Tahiti. Ils ont décroché les Jeux deux fois auparavant, ils savent comment préparer une candidature de manière très professionnelles », a-t-il nuancé.
Au plan de l’historique récent des Jeux, l’édition 2011 de cette compétition quasi-olympique s’est déroulée en Nouvelle-Calédonie.
Les mini-Jeux 2013 auront lieu à Wallis-et-Futuna.
L’accueil, consécutivement, de ces deux compétitions dans deux collectivités françaises du Pacifique, combiné à l’échec de Tonga lors de sa toute récente candidature pour les Jeux 2015, pourraient jouer en faveur de Tonga, confie-t-on de source proche du dossier.
Après sa réunion de cette semaine, le Conseil des Jeux du Pacifique, organisme qui régit la tenue et l’organisation de cet événement océanien, a effectué sur place des visites, en juin 2012, en Polynésie française et à Tonga.
À l’issue de ces visites, le Conseil a émis des recommandations concernant le format de ces candidatures et a demandé un « dossier annexe », depuis transmis par les deux gouvernements concernés.
Le royaume de Tonga avait auparavant accueilli, une fois, les Mini-jeu du Pacifique, en 1989.
En mai 2012, il évoquait un budget prévisionnel, dans son dossier de candidature, de l’ordre de 70 millions de dollars US, avec une aide de la Chine pour la construction d’un stade supplémentaire.
Les prochains mini-Jeux du Pacifique, ceux de 2013, devraient avoir lieu à Wallis-et-Futuna, avec un appui logistique important venu de la Nouvelle-Calédonie voisine et forte de l’expérience de 2011.
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