Hier sur le plateau télé de TNTV, le ministre de l’Economie se félicitait d’avoir inscrit plus d’1,7 milliards au FIP sans même avoir encaissé le prêt de 5 milliards mais regrettait de ne pouvoir s’engager avec l’Etat pour les 3500 CDL car cela engageait la responsabilité du pays.
Que doit-on comprendre ? Ne vous inquiétez pas nous avons prévu une caisse d’assurance chômage financée par les gentils cotisants polynésiens, vous n’avez pas besoin du dispositif des chantiers de développement local (CDL) réactivé par l’Etat en vue de contribuer à la lutte contre le chômage ?!
Cette décision est irresponsable, contestable sur le fond comme sur la forme, et lourde de conséquences.
Nous, élus du groupe To Tatou Ai’a, nous insurgeons contre de telles pratiques, totalement en décalage avec l’esprit de notre partenariat Pays/Etat.
De même, nous déplorons que malgré la garantie selon laquelle, le remboursement de l’encours de la dette est une dépense prioritaire, nos bailleurs de fonds traditionnels : Caisse des dépôts en consignations, Dexia, Agence française de développement, banques locales, banque européenne d’investissement…… ne souhaitent toujours pas prêter.
C’est peut-être la petite précision de Monsieur Pierre Frébault, qui disait : « mais juste après les salaires … » que TIKIPHONE n’a pas eu dans son contrat de prêt.
Que doit-on comprendre ? Ne vous inquiétez pas nous avons prévu une caisse d’assurance chômage financée par les gentils cotisants polynésiens, vous n’avez pas besoin du dispositif des chantiers de développement local (CDL) réactivé par l’Etat en vue de contribuer à la lutte contre le chômage ?!
Cette décision est irresponsable, contestable sur le fond comme sur la forme, et lourde de conséquences.
Nous, élus du groupe To Tatou Ai’a, nous insurgeons contre de telles pratiques, totalement en décalage avec l’esprit de notre partenariat Pays/Etat.
De même, nous déplorons que malgré la garantie selon laquelle, le remboursement de l’encours de la dette est une dépense prioritaire, nos bailleurs de fonds traditionnels : Caisse des dépôts en consignations, Dexia, Agence française de développement, banques locales, banque européenne d’investissement…… ne souhaitent toujours pas prêter.
C’est peut-être la petite précision de Monsieur Pierre Frébault, qui disait : « mais juste après les salaires … » que TIKIPHONE n’a pas eu dans son contrat de prêt.