PIRAE, 20 février 2016 - Teva Rohfritsch, ancien président du parti autonomiste A Ti'a Porinetia, aujourd'hui ministre de l'Economie, est élu numéro 2 du Tapura Huiraatira.
Ce congrès rassemble plus de participants que celui du Tahoera’a. C’était l’objectif visé ?
Teva Rohfritsch : L’objectif était surtout de bien vérifier que ce rassemblement que nous avons engagé à l’assemblée de Polynésie est bien fondé sur un rassemblement populaire des Polynésiens. Il était important que nous rassemblions aujourd’hui le plus grand nombre. Et j’ai envie de vous dire que s’il n’avait pas plu nous aurions été beaucoup plus nombreux encore.
Votre rassemblement est politiquement de tendances très variées. Cela n’obère-t-il pas ses chances d’avenir ?
Teva Rohfritsch : Je ne vois pas de tendances. Je vois un parti qui s’est constitué. Ce n’est pas une fédération de partis. C’est un parti unique. Nous avons dissous A Tia Porinetia pour entrer dans le Tapura Huiraatira et pour nous engager pleinement dans cette construction nouvelle. C’est une page politique du pays qui se tourne. On souhaite regarder vers l’avant. Et ce qu’on a fait à ATP en 2013, se fait sur la base d’un rassemblement beaucoup plus large aujourd’hui. La Polynésie a besoin d’unité face à la crise que nous traversons et aux réformes que nous devons engager. Cette unité, nous l’avons créée à l’assemblée ; nous devions la faire avec la population. C’est chose faite.
Cette unité, vous pensez qu’elle survivra à la réforme de la PSG ?
Teva Rohfritsch : Vous serez surpris : cette unité va survivre à beaucoup de choses, n’en déplaise aux esprits chagrins. Nous venons de démontrer aujourd’hui que malgré un temps pluvieux, 10000 personnes sont venus pour dire "ça suffit ! On veut tourner une page et construire dans le cadre de ce nouveau parti".
Ce congrès rassemble plus de participants que celui du Tahoera’a. C’était l’objectif visé ?
Teva Rohfritsch : L’objectif était surtout de bien vérifier que ce rassemblement que nous avons engagé à l’assemblée de Polynésie est bien fondé sur un rassemblement populaire des Polynésiens. Il était important que nous rassemblions aujourd’hui le plus grand nombre. Et j’ai envie de vous dire que s’il n’avait pas plu nous aurions été beaucoup plus nombreux encore.
Votre rassemblement est politiquement de tendances très variées. Cela n’obère-t-il pas ses chances d’avenir ?
Teva Rohfritsch : Je ne vois pas de tendances. Je vois un parti qui s’est constitué. Ce n’est pas une fédération de partis. C’est un parti unique. Nous avons dissous A Tia Porinetia pour entrer dans le Tapura Huiraatira et pour nous engager pleinement dans cette construction nouvelle. C’est une page politique du pays qui se tourne. On souhaite regarder vers l’avant. Et ce qu’on a fait à ATP en 2013, se fait sur la base d’un rassemblement beaucoup plus large aujourd’hui. La Polynésie a besoin d’unité face à la crise que nous traversons et aux réformes que nous devons engager. Cette unité, nous l’avons créée à l’assemblée ; nous devions la faire avec la population. C’est chose faite.
Cette unité, vous pensez qu’elle survivra à la réforme de la PSG ?
Teva Rohfritsch : Vous serez surpris : cette unité va survivre à beaucoup de choses, n’en déplaise aux esprits chagrins. Nous venons de démontrer aujourd’hui que malgré un temps pluvieux, 10000 personnes sont venus pour dire "ça suffit ! On veut tourner une page et construire dans le cadre de ce nouveau parti".