TAHITI, le 10 décembre 2019 - Les animaux ont-ils des droits comme les enfants ou les adultes ? La réponse est "oui". La journée internationale pour les droits des animaux qui a lieu tous les ans le 10 décembre vient de le rappeler.
La journée internationale pour le droit des animaux a lieu tous les ans le 10 décembre. Les personnes concernées par le sujet manifestent en général en silence sur des lieux où des animaux ont été maltraités, torturés ou tués comme par exemple lors des guerres mondiales ou bien dans certains laboratoires de recherche.
Sais-tu qu’il existe une déclaration universelle des droits de l’homme ? Et bien il existe aussi une déclaration universelle des droits de l’animal, corédigée par la Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA). Elle a été proclamée solennellement à Paris le 15 octobre 1978, à la Maison de l’Unesco. Son texte a été révisé par la Ligue international des droits de l’animal il y a 30 ans, en 1989. Enfin, elle a été mise à jour en 2018.
Ces droits s’appuient sur ce que l’on appelle des préambules. Un préambule en droit c’est une introduction, un exposé qui explique les motifs qui ont aidé les personnes qui font les lois, les législateurs, à rédiger un texte.
Des crimes envers les animaux
Dans le cadre de la rédaction du droit des animaux, les législateurs ont notamment dit que :
"la vie est une, tous les êtres vivants ont une origine commune, ils se sont différenciés au cours de l’évolution des espèces", ils ont ajouté que : "tout être vivant possède des droits naturels et que tout animal doté d’un système nerveux possède des droits particuliers".
En plus, d’après eux, "le mépris, voire la simple méconnaissance de ces droits naturels, provoquent de graves atteintes à la Nature et conduisent l’homme à commettre des crimes envers les animaux" et "le respect des animaux par l’homme est inséparable du respect des hommes entre eux".
À la suite de ce préambule, il y a plusieurs articles. Par exemple : "L’animal que l’homme tient sous sa dépendance a droit à un entretien et à des soins attentifs" et "Il ne doit en aucun cas être abandonné, ou mis à mort de manière injustifiée".
Il y a aussi : "tout acte impliquant sans nécessité la mort d’un animal et toute décision conduisant à un tel acte constituent un crime contre la vie". Pour faire respecter ces droits, les hommes doivent connaître et les faire appliquer.
Depuis 2015, en France, la loi a évolué. Le statut de l’animal a changé. Les animaux sont reconnus comme "des êtres vivants doués de sensibilité". Avant, ils étaient considérés comme des "biens meubles". Il est donc plus facile, sur cette base, de faire respecter leurs droits et de mieux prendre en compte leur bien-être.
La journée internationale pour le droit des animaux a lieu tous les ans le 10 décembre. Les personnes concernées par le sujet manifestent en général en silence sur des lieux où des animaux ont été maltraités, torturés ou tués comme par exemple lors des guerres mondiales ou bien dans certains laboratoires de recherche.
Sais-tu qu’il existe une déclaration universelle des droits de l’homme ? Et bien il existe aussi une déclaration universelle des droits de l’animal, corédigée par la Fondation droit animal, éthique et sciences (LFDA). Elle a été proclamée solennellement à Paris le 15 octobre 1978, à la Maison de l’Unesco. Son texte a été révisé par la Ligue international des droits de l’animal il y a 30 ans, en 1989. Enfin, elle a été mise à jour en 2018.
Ces droits s’appuient sur ce que l’on appelle des préambules. Un préambule en droit c’est une introduction, un exposé qui explique les motifs qui ont aidé les personnes qui font les lois, les législateurs, à rédiger un texte.
Des crimes envers les animaux
Dans le cadre de la rédaction du droit des animaux, les législateurs ont notamment dit que :
"la vie est une, tous les êtres vivants ont une origine commune, ils se sont différenciés au cours de l’évolution des espèces", ils ont ajouté que : "tout être vivant possède des droits naturels et que tout animal doté d’un système nerveux possède des droits particuliers".
En plus, d’après eux, "le mépris, voire la simple méconnaissance de ces droits naturels, provoquent de graves atteintes à la Nature et conduisent l’homme à commettre des crimes envers les animaux" et "le respect des animaux par l’homme est inséparable du respect des hommes entre eux".
À la suite de ce préambule, il y a plusieurs articles. Par exemple : "L’animal que l’homme tient sous sa dépendance a droit à un entretien et à des soins attentifs" et "Il ne doit en aucun cas être abandonné, ou mis à mort de manière injustifiée".
Il y a aussi : "tout acte impliquant sans nécessité la mort d’un animal et toute décision conduisant à un tel acte constituent un crime contre la vie". Pour faire respecter ces droits, les hommes doivent connaître et les faire appliquer.
Depuis 2015, en France, la loi a évolué. Le statut de l’animal a changé. Les animaux sont reconnus comme "des êtres vivants doués de sensibilité". Avant, ils étaient considérés comme des "biens meubles". Il est donc plus facile, sur cette base, de faire respecter leurs droits et de mieux prendre en compte leur bien-être.