Tahiti, le 12 décembre 2024 - Temanava Domingo, 23 ans, mannequin et coach de vie, mais surtout Miss Tahiti 2024, sera sur les planches du Futuroscope de Poitiers ce samedi pour défendre ses chances dans la conquête de l’écharpe de Miss France.
À deux jours de cette soirée forcément particulière pour la jeune fille, nous avons contacté les parents de Temanava, Teiva et Doriane, déjà arrivés à Paris pour la soutenir en compagnie de 27 personnes, oncles, tantes, cousins, amis, et du comité Miss Tahiti présidé par Leiana Faugerat. Ensemble, les parents partagent leur fierté autour du parcours de leur fille.
L’élection est déjà ce samedi. Comment appréhendez-vous les choses ?
Teiva : “[Longue réflexion] Nous sommes traversés par les émotions. Le jour J se rapproche. On sait tous les efforts que Temanava a fourni sur ce mois de préparation avec le comité Miss France. On est vraiment admiratifs de son courage, de son abnégation à donner le meilleur d’elle-même pour Tahiti. Nous sommes très fiers de Temanava, de tout ce qu’elle donne. On commence à faire les ascenseurs émotionnels un peu. Ensuite, nous savons que Temanava est bien entourée avec le comité Miss Tahiti. De ce côté-là, on n’a pas trop d’inquiétudes. Elle a passé le grand oral [mercredi]. Je pense qu’elle sera dans les 15 [première sélection avant qu’il ne reste plus que cinq candidates, NDLR]. Enfin, c’est notre point de vue. On voit dans de nombreux journaux en métropole et sur les réseaux sociaux qu’ils en font même une favorite pour être Miss France potentielle…”
Cela fait chaud au cœur, mais cela doit être aussi très stressant.
Teiva : “C’est exactement ça. Nous sommes dans un état d’excitation. Nous sommes très reconnaissants envers notre fille de nous mettre dans cette jolie aventure. Maintenant, nous avons hâte que l’élection arrive. Cela fait déjà un bon mois et il est tant que le show arrive et que la meilleure gagne.”
Vous parvenez à rester en contact avec elle ?
Teiva : “Temanava, nous avons très peu de contacts avec elle. Elle est très occupée, elle a un planning rempli, intense, du matin au soir. L’aventure de Miss France, c’est aussi ça. C’est un engagement, c’est beaucoup de rendez-vous, ce sont des répétitions. Il faut de la force, de l’énergie et c’est très exigeant.”
Vous êtes encore à Paris ou vous l’avez déjà rejoint à Poitiers ?
Teiva : “Nous sommes encore à Paris. On descend vendredi à Poitiers. Le soir, nous aurons la chance de pouvoir participer à la répétition générale et au tournage de la séquence du défilé des tenues régionales. C’est tourné un jour avant pour que la logistique de l’élection puisse être bien dynamique.”
Avez-vous réussi à l’avoir au téléphone ces derniers jours et comment se porte-t-elle ?
Teiva : “Elle a eu sa maman ce matin.”
Doriane : “Elle vit bien son aventure, elle est en forme. Elle gère bien son énergie et elle a hâte de nous montrer le show.”
Elle vous a parlé un peu de son aventure depuis l’intérieur ? Sa relation avec les autres candidates ?
Doriane : “Oui. Elle s’est liée d’amitié avec Miss Saint-Barth (Sasha Bique), Miss Limousin (Julie Bève) et Miss Roussillon (Cassiopée Rimbaud), je crois. Temanava est une fille très sociable donc cela se passe bien avec tout le monde.”
Votre vie de parents s’est organisée autour de ces événements, depuis sa participation à la Fashion Week.
Doriane : “Oui, nous la soutenons dans toutes ses aventures. Nous l’accompagnons quand elle explore le monde de la photo et le monde de la mode.”
Beaucoup de membres de votre famille sont présents à Paris ?
Doriane : “De mon côté, il y a ma grand-mère, mes cousins, mes neveux qui sont à Paris. Du côté de Teiva, il y a son frère et sa famille, sa tante, nos neveux de Tahiti. Ça fait du monde. Avec des amis, nous serons 27 dans la salle pour la soutenir. Et avec le comité Miss Tahiti, nous serons 60.”
Si Temanava devient Miss France, n’avez-vous pas peur qu’elle ne vous appartienne plus ?
Teiva : “Ce sera plutôt un honneur de partager notre fille avec la France. Temanava a tellement à partager. Elle a des messages forts. Pour nous, ce ne sera pas une séparation. Ce sera d’abord de l’admiration, de la fierté qu’elle puisse faire avancer certaines choses à sa manière.”
À deux jours de cette soirée forcément particulière pour la jeune fille, nous avons contacté les parents de Temanava, Teiva et Doriane, déjà arrivés à Paris pour la soutenir en compagnie de 27 personnes, oncles, tantes, cousins, amis, et du comité Miss Tahiti présidé par Leiana Faugerat. Ensemble, les parents partagent leur fierté autour du parcours de leur fille.
L’élection est déjà ce samedi. Comment appréhendez-vous les choses ?
Teiva : “[Longue réflexion] Nous sommes traversés par les émotions. Le jour J se rapproche. On sait tous les efforts que Temanava a fourni sur ce mois de préparation avec le comité Miss France. On est vraiment admiratifs de son courage, de son abnégation à donner le meilleur d’elle-même pour Tahiti. Nous sommes très fiers de Temanava, de tout ce qu’elle donne. On commence à faire les ascenseurs émotionnels un peu. Ensuite, nous savons que Temanava est bien entourée avec le comité Miss Tahiti. De ce côté-là, on n’a pas trop d’inquiétudes. Elle a passé le grand oral [mercredi]. Je pense qu’elle sera dans les 15 [première sélection avant qu’il ne reste plus que cinq candidates, NDLR]. Enfin, c’est notre point de vue. On voit dans de nombreux journaux en métropole et sur les réseaux sociaux qu’ils en font même une favorite pour être Miss France potentielle…”
Cela fait chaud au cœur, mais cela doit être aussi très stressant.
Teiva : “C’est exactement ça. Nous sommes dans un état d’excitation. Nous sommes très reconnaissants envers notre fille de nous mettre dans cette jolie aventure. Maintenant, nous avons hâte que l’élection arrive. Cela fait déjà un bon mois et il est tant que le show arrive et que la meilleure gagne.”
Vous parvenez à rester en contact avec elle ?
Teiva : “Temanava, nous avons très peu de contacts avec elle. Elle est très occupée, elle a un planning rempli, intense, du matin au soir. L’aventure de Miss France, c’est aussi ça. C’est un engagement, c’est beaucoup de rendez-vous, ce sont des répétitions. Il faut de la force, de l’énergie et c’est très exigeant.”
Vous êtes encore à Paris ou vous l’avez déjà rejoint à Poitiers ?
Teiva : “Nous sommes encore à Paris. On descend vendredi à Poitiers. Le soir, nous aurons la chance de pouvoir participer à la répétition générale et au tournage de la séquence du défilé des tenues régionales. C’est tourné un jour avant pour que la logistique de l’élection puisse être bien dynamique.”
Avez-vous réussi à l’avoir au téléphone ces derniers jours et comment se porte-t-elle ?
Teiva : “Elle a eu sa maman ce matin.”
Doriane : “Elle vit bien son aventure, elle est en forme. Elle gère bien son énergie et elle a hâte de nous montrer le show.”
Elle vous a parlé un peu de son aventure depuis l’intérieur ? Sa relation avec les autres candidates ?
Doriane : “Oui. Elle s’est liée d’amitié avec Miss Saint-Barth (Sasha Bique), Miss Limousin (Julie Bève) et Miss Roussillon (Cassiopée Rimbaud), je crois. Temanava est une fille très sociable donc cela se passe bien avec tout le monde.”
Votre vie de parents s’est organisée autour de ces événements, depuis sa participation à la Fashion Week.
Doriane : “Oui, nous la soutenons dans toutes ses aventures. Nous l’accompagnons quand elle explore le monde de la photo et le monde de la mode.”
Beaucoup de membres de votre famille sont présents à Paris ?
Doriane : “De mon côté, il y a ma grand-mère, mes cousins, mes neveux qui sont à Paris. Du côté de Teiva, il y a son frère et sa famille, sa tante, nos neveux de Tahiti. Ça fait du monde. Avec des amis, nous serons 27 dans la salle pour la soutenir. Et avec le comité Miss Tahiti, nous serons 60.”
Si Temanava devient Miss France, n’avez-vous pas peur qu’elle ne vous appartienne plus ?
Teiva : “Ce sera plutôt un honneur de partager notre fille avec la France. Temanava a tellement à partager. Elle a des messages forts. Pour nous, ce ne sera pas une séparation. Ce sera d’abord de l’admiration, de la fierté qu’elle puisse faire avancer certaines choses à sa manière.”