Elle a ainsi pu présenter les propositions de NO OE E TE NUNAA insistant particulièrement sur les 4 axes suivants vecteur de retour à la satbilité :
L'adaptation des institutions à la dimension de la Polynésie française : avec notamment la baisse importante du nombre de représentants à l'Assemblée de la Polynésie française (de 57 à 41) et des membres du gouvernement (11).
L'adoption d'une nouvelle loi électorale : avec l'introduction d'une prime majoritaire à l’échelle du Pays devant permettre de gouverner sans écraser les minorités. Ce nouveau mode de scrutin doit aussi garantir le maintien de la représentation de l’ensemble des archipels au sein de l’Assemblée délibérante avec le maintien des six circonscriptions électorales.
Des mesures pour plus de responsabilité des élus : par un meilleur encadrement des motions de défiance qui, pour être déposées, devront être signées par une majorité absolue d’élus. Elles devront par ailleurs indiquer le nom du candidat au poste de président de la Polynésie française ainsi que la composition du gouvernement proposé.
La ré-introduction du principe de décentralisation dans le statut de la Polynésie : facteur de stabilité et de développement, cette décentralisation vise à un équilibre des pouvoirs et une meilleure répartition des richesses sur l'ensemble du territoire polynésien.
Satisfait de cette rencontre, NO OE E TE NUNAA espère cependant que le rapport qui découlera de cette mission appellera de la part du gouvernement central une attitude respectueuse et non partisane vis à vis de la Polynésie et de ses représentants. En effet, les déclarations, vendredi dernier, de la Ministre de l’Outre-mer sur « les idées étudiées en matière de loi électorale » et notamment celle de la mise en place d’une circonscription unique subdivisée en sections comme pour les élections régionales, peuvent laisser penser que cette consultation n'est que de pure forme et que les décisions sont déjà prises à Paris.
L'adaptation des institutions à la dimension de la Polynésie française : avec notamment la baisse importante du nombre de représentants à l'Assemblée de la Polynésie française (de 57 à 41) et des membres du gouvernement (11).
L'adoption d'une nouvelle loi électorale : avec l'introduction d'une prime majoritaire à l’échelle du Pays devant permettre de gouverner sans écraser les minorités. Ce nouveau mode de scrutin doit aussi garantir le maintien de la représentation de l’ensemble des archipels au sein de l’Assemblée délibérante avec le maintien des six circonscriptions électorales.
Des mesures pour plus de responsabilité des élus : par un meilleur encadrement des motions de défiance qui, pour être déposées, devront être signées par une majorité absolue d’élus. Elles devront par ailleurs indiquer le nom du candidat au poste de président de la Polynésie française ainsi que la composition du gouvernement proposé.
La ré-introduction du principe de décentralisation dans le statut de la Polynésie : facteur de stabilité et de développement, cette décentralisation vise à un équilibre des pouvoirs et une meilleure répartition des richesses sur l'ensemble du territoire polynésien.
Satisfait de cette rencontre, NO OE E TE NUNAA espère cependant que le rapport qui découlera de cette mission appellera de la part du gouvernement central une attitude respectueuse et non partisane vis à vis de la Polynésie et de ses représentants. En effet, les déclarations, vendredi dernier, de la Ministre de l’Outre-mer sur « les idées étudiées en matière de loi électorale » et notamment celle de la mise en place d’une circonscription unique subdivisée en sections comme pour les élections régionales, peuvent laisser penser que cette consultation n'est que de pure forme et que les décisions sont déjà prises à Paris.