Ethode Rey
Franck Tehaamatai, le président du collectif Te Tau no te Hono, qui fait l’objet d’une mise en examen dans le cadre d’une affaire d’escroquerie à la défiscalisation, s’est mis en retrait.
Jeudi 9 août, c’est Ethode Rey, vice-président du mouvement interprofessionnel de contestation de la dernière hausse du prix des carburants, qui annonçait la détermination du collectif. « Notre mouvement ne s’arrêtera pas : nos actions ne vont pas cesser », a affirmé celui qui annonce avoir fait l’objet d’une mesure punitive en se voyant exclu dernièrement du conseil d’administration du Port Autonome, pointant du doigt la présence d’une « force occulte » pour les faire taire.
La demande de ce collectif citoyen est claire : le retrait des trois arrêtés CM qui ont fixé la dernière augmentation du prix des carburants, le 1er juillet dernier.
Le collectif annonce une nouvelle marche de contestation, samedi 11 août au départ de la place Tarahoi, à Papeete. Près de 2.500 personnes s’étaient jointes à la précédente marche, le 26 juillet dernier.
Des marches sont également organisées à Uturoa, Raiatea et sur l’atoll de Arutua aux Tuamotu.
Quelque soit le succès de celles-ci, le mouvement menace également de mettre en place des ralentissements, jeudi 16 août, jour de rentrée scolaire.
Le mouvement est composé d’agriculteurs, de pêcheurs, de perliculteurs, d’entreprises du BTP, de transporteurs en commun, de boulangers et de représentants de la société civile.
Les prix de l’essence et du gazole ont été réévalués à trois reprises en 2011, les 1er mai, 1er août et 11 novembre. La revalorisation du 1er juillet dernier était la première en 2012.
Les professionnels défendent leur posture contestataire en arguant des répercutions financières importantes qu'ont ces hausses de prix dans leurs secteurs d'activité, déjà en grande difficulté.
Jeudi 9 août, c’est Ethode Rey, vice-président du mouvement interprofessionnel de contestation de la dernière hausse du prix des carburants, qui annonçait la détermination du collectif. « Notre mouvement ne s’arrêtera pas : nos actions ne vont pas cesser », a affirmé celui qui annonce avoir fait l’objet d’une mesure punitive en se voyant exclu dernièrement du conseil d’administration du Port Autonome, pointant du doigt la présence d’une « force occulte » pour les faire taire.
La demande de ce collectif citoyen est claire : le retrait des trois arrêtés CM qui ont fixé la dernière augmentation du prix des carburants, le 1er juillet dernier.
Le collectif annonce une nouvelle marche de contestation, samedi 11 août au départ de la place Tarahoi, à Papeete. Près de 2.500 personnes s’étaient jointes à la précédente marche, le 26 juillet dernier.
Des marches sont également organisées à Uturoa, Raiatea et sur l’atoll de Arutua aux Tuamotu.
Quelque soit le succès de celles-ci, le mouvement menace également de mettre en place des ralentissements, jeudi 16 août, jour de rentrée scolaire.
Le mouvement est composé d’agriculteurs, de pêcheurs, de perliculteurs, d’entreprises du BTP, de transporteurs en commun, de boulangers et de représentants de la société civile.
Les prix de l’essence et du gazole ont été réévalués à trois reprises en 2011, les 1er mai, 1er août et 11 novembre. La revalorisation du 1er juillet dernier était la première en 2012.
Les professionnels défendent leur posture contestataire en arguant des répercutions financières importantes qu'ont ces hausses de prix dans leurs secteurs d'activité, déjà en grande difficulté.
Itinéraire de la marche de contestation du samedi 11 août
