PAPEETE, le 3 juin 2015. Il y a peu le président Edouard Fritch déclarait : « Flosse c’est Flosse et Fritch c’est Fritch ». Pourtant, pour son premier voyage en Chine, Fritch fait du Flosse. C’est avec satisfaction que le Tahoera’a Huiraatira constate que le président Edouard Fritch a chaussé les souliers de Gaston Flosse, véritables bottes de sept lieux ! Chacune des étapes est une répétition du parcours effectué par l’ancien président. C’est ainsi le cas avec Hainan Airlines, puisque Gaston Flosse avait signé à un plus haut niveau avec le PDG du groupe un accord autorisant la compagnie chinoise à desservir la Polynésie française avec 12 vols hebdomadaires de part et d’autre. L’accord signé à Hainan prévoyait également que le consortium chinois pouvait investir en Polynésie française dans le secteur hôtelier. Son président avait été accueilli à Tahiti, et il avait même survolé en hélicoptère le site d’Atimaono, alors qu’Oscar Temaru manifestait son hostilité à ce projet. Ils avaient également visité les sites du Tahiti Mahana Beach, celui du Moorea Mahana Beach et plusieurs hôtels de Bora Bora.
Que ce soit avec Madame Li Xiaoling, la présidente de l’APCAE ou encore avec le vice-président de la Chine, Monsieur Li Yuanchao, ou comme hier avec la société TCK Green Building, Edouard Fritch répète le parcours effectué par Gaston Flosse et réitère les engagements pris par lui lorsqu’il est allé renouer les relations avec Pékin. Le Tahoera’a Huiraatira se réjouit de la poursuite de ce partenariat à un moment où notre pays a besoin plus que jamais d’investisseurs pour relancer son économie. Si la visite du président Fritch en Chine est légitime, elle n’est pas nécessaire pour redonner un nouveau souffle aux relations bilatérales et faire progresser les différents partenariats déjà bien engagés par Gaston Flosse, que ce soit sur le projet aquacole, les énergies renouvelables, la desserte aérienne, les investissements touristiques ou les projets structurants, qui n’ont d’autres objectifs que de relancer les entreprises et de créer les emplois attendus. On a envie de dire : « assez baladé, au travail maintenant ! »
Que ce soit avec Madame Li Xiaoling, la présidente de l’APCAE ou encore avec le vice-président de la Chine, Monsieur Li Yuanchao, ou comme hier avec la société TCK Green Building, Edouard Fritch répète le parcours effectué par Gaston Flosse et réitère les engagements pris par lui lorsqu’il est allé renouer les relations avec Pékin. Le Tahoera’a Huiraatira se réjouit de la poursuite de ce partenariat à un moment où notre pays a besoin plus que jamais d’investisseurs pour relancer son économie. Si la visite du président Fritch en Chine est légitime, elle n’est pas nécessaire pour redonner un nouveau souffle aux relations bilatérales et faire progresser les différents partenariats déjà bien engagés par Gaston Flosse, que ce soit sur le projet aquacole, les énergies renouvelables, la desserte aérienne, les investissements touristiques ou les projets structurants, qui n’ont d’autres objectifs que de relancer les entreprises et de créer les emplois attendus. On a envie de dire : « assez baladé, au travail maintenant ! »