Bientôt autant de touristes à Vanuatu qu’à Papeete …grâce à la France !
C’est une des success-story de ces dernières années dans le Pacifique Sud-ouest : le tourisme et sa croissance à Vanuatu, un tourisme qui s’approche lentement, mais sûrement de la barre des cent mille visiteurs par an. (131 000 a Tahiti dans la même période…)
Le tourisme à Vanuatu se porte mieux que jamais.
En fait, on approche là-bas, avec le sourire comme d’habitude, de la symbolique barre des cent mille visiteurs par an.
Avec des valeurs sûres, comme le Saut du Gol des hommes de l’île de Pentecôte, ou encore le fameux volcan actif Yasur, sur l’île de Tanna.
Mais à Vanuatu, on veut aller plus loin, avec des atouts qui sont déjà bien présents.
Des pions qui sont désormais en place aussi.
D’abord, il y a toutes ces rénovations et mises à niveau de pistes, non seulement sur les îles principales, mais aussi sur des destinations secondaires.
Un atout que l’archipel mélanésien entend bien, évidemment, mettre à profit pour développer ses réseaux régionaux, comme par exemple ses liaisons avec la Nouvelle-Calédonie voisine, mais aussi d’autres archipel proches comme Fidji ou les îles Salomon.
Et ce développement touristique, avec le potentiel qui y est attaché, Vanuatu, au passage, le doit largement à la France, dont l’Agence de Développement, l’AFD, a largement contribué au financement de ces infrastructures avec une bonne de dizaine de millions d’euros.
Tout comme l’achat de l’ATR a pu se faire grâce à l’appui financier d’une banque française récemment implantée dans l’archipel…
C’est une des success-story de ces dernières années dans le Pacifique Sud-ouest : le tourisme et sa croissance à Vanuatu, un tourisme qui s’approche lentement, mais sûrement de la barre des cent mille visiteurs par an. (131 000 a Tahiti dans la même période…)
Le tourisme à Vanuatu se porte mieux que jamais.
En fait, on approche là-bas, avec le sourire comme d’habitude, de la symbolique barre des cent mille visiteurs par an.
Avec des valeurs sûres, comme le Saut du Gol des hommes de l’île de Pentecôte, ou encore le fameux volcan actif Yasur, sur l’île de Tanna.
Mais à Vanuatu, on veut aller plus loin, avec des atouts qui sont déjà bien présents.
Des pions qui sont désormais en place aussi.
D’abord, il y a toutes ces rénovations et mises à niveau de pistes, non seulement sur les îles principales, mais aussi sur des destinations secondaires.
Un atout que l’archipel mélanésien entend bien, évidemment, mettre à profit pour développer ses réseaux régionaux, comme par exemple ses liaisons avec la Nouvelle-Calédonie voisine, mais aussi d’autres archipel proches comme Fidji ou les îles Salomon.
Et ce développement touristique, avec le potentiel qui y est attaché, Vanuatu, au passage, le doit largement à la France, dont l’Agence de Développement, l’AFD, a largement contribué au financement de ces infrastructures avec une bonne de dizaine de millions d’euros.
Tout comme l’achat de l’ATR a pu se faire grâce à l’appui financier d’une banque française récemment implantée dans l’archipel…