Le Tavini s'exprime sur le meeting tenu par François Baroin ce vendredi à la salle Aorai Tini hau:
Les lumières scintillent. Les chants résonnent dans la salle Aorai Tini Hau où règne une atmosphère de fête. Les acteurs et spectateurs sont assis et bien sages. Ils sont là en grand nombre les Totonomistes, avec leurs pseudo leaders. Enfin, un seul est venu avec ses fidèles, les neuf, dix, onze autres partis sont venus … tout seul. Mais qui a organisé et payé ce truc ? Un Gaston Tong Song dépassé, impuissant, incapable de faire quoique ce soit à l’image de son mode de gouvernancequand il était aux rênes du pays. Et oui GTS, vous êtes de ces petits partis venus SEUL. La vague orange noyait les tribunes. Incapables de réunir vos 60 000 voix, vous mettez en scène une union “bling bling” qui ne fait pas illusion.Ça fait quoi de payer et de passer pour un petit calibre ?
Puis sous les applaudissements, arrive le ministre de l’économie et des finances, François Baroin. Mais qu’attendaient-ils de lui ? Durant son discours de 40 minutes, seules 8 minutes étaient réservées à notre pays en incluant les salutations. Soit rien, comme le bilan du quinquennat de Sarko et les promesses pour la Polynésie française. Mais le représentant du président sortant enchaîne et se fait “concierge” d’immeuble colportant ragots et médisances sur les différents candidats, dont François Hollande: “j’ai entendu-ci sur François Hollande”, “on m’a dit ça sur François Hollande.” Sont-ce là les manières d’un ministre ? Puis François Baroin finit sur un long très long exposé sur la crise économique mondiale. Ainsi, ce monsieur, représentant du candidat sortant, a fait près de 20 000 kms pour nous dire que le gouvernement Sarko a rien fait pour la Polynésie française et qu’il continuera, que de toutes façons c’est la faute à la crise et que François Hollande, il paraît qu’il est comme-ci ou comme-ça.
Le plus dramatique, ce sont ces totonomistes incapables d’intégrité morale qui encouragent, persuadent au soutien d’un homme qui s’en fiche de notre pays. Ces mêmes politiciens qui ont montré leurs vrais visages: mensonges, langue de bois, trahisons, profits personnels, magouilles en tous genres. Mais comme on le dit si bien: qui se ressemble s’assemble. On a surtout remarqué le meilleur d’entre les meilleurs. Le plan est simple : arriver en tête au premier tour et tout le reste suivra. Celui qui a cramé l’argent de la bombe, le plus décoré de la justice républicaine, se verrait bien reprendre le flambeau tricolore à 80 berges passées pour sauver le pays de la dérive indépendantiste. L’ivresse de la distribution des bonbons comme au bon vieux temps : avez vous été fidèles ?... Serrage des fesses tous azimuts chez les socio-pros, l’horreur…
C’était trop bref, mais vaut mieux éviter les paniers à crabes. En dépit des apparences, l’envoyé spécial du candidat sortant n’est pas Harry Potter et il y a mieux à faire à Paris. De toutes façons, c’est joué, ils vont tous voter Sarko, cocus et contents, on ne va pas se gêner.
Mais ne soyons pas mauvaise langue, François Baroin est venu avec un cadeau. Si le candidat sortant est élu, il viendra en fin d’année prononcer ses vœux en Polynésie française. Nous acceptons ce cadeau, car le nouveau Président de la République avec nous en fin d’année sera François Hollande.
Les 21 avril et 5 mai, votons pour François Hollande !
Les lumières scintillent. Les chants résonnent dans la salle Aorai Tini Hau où règne une atmosphère de fête. Les acteurs et spectateurs sont assis et bien sages. Ils sont là en grand nombre les Totonomistes, avec leurs pseudo leaders. Enfin, un seul est venu avec ses fidèles, les neuf, dix, onze autres partis sont venus … tout seul. Mais qui a organisé et payé ce truc ? Un Gaston Tong Song dépassé, impuissant, incapable de faire quoique ce soit à l’image de son mode de gouvernancequand il était aux rênes du pays. Et oui GTS, vous êtes de ces petits partis venus SEUL. La vague orange noyait les tribunes. Incapables de réunir vos 60 000 voix, vous mettez en scène une union “bling bling” qui ne fait pas illusion.Ça fait quoi de payer et de passer pour un petit calibre ?
Puis sous les applaudissements, arrive le ministre de l’économie et des finances, François Baroin. Mais qu’attendaient-ils de lui ? Durant son discours de 40 minutes, seules 8 minutes étaient réservées à notre pays en incluant les salutations. Soit rien, comme le bilan du quinquennat de Sarko et les promesses pour la Polynésie française. Mais le représentant du président sortant enchaîne et se fait “concierge” d’immeuble colportant ragots et médisances sur les différents candidats, dont François Hollande: “j’ai entendu-ci sur François Hollande”, “on m’a dit ça sur François Hollande.” Sont-ce là les manières d’un ministre ? Puis François Baroin finit sur un long très long exposé sur la crise économique mondiale. Ainsi, ce monsieur, représentant du candidat sortant, a fait près de 20 000 kms pour nous dire que le gouvernement Sarko a rien fait pour la Polynésie française et qu’il continuera, que de toutes façons c’est la faute à la crise et que François Hollande, il paraît qu’il est comme-ci ou comme-ça.
Le plus dramatique, ce sont ces totonomistes incapables d’intégrité morale qui encouragent, persuadent au soutien d’un homme qui s’en fiche de notre pays. Ces mêmes politiciens qui ont montré leurs vrais visages: mensonges, langue de bois, trahisons, profits personnels, magouilles en tous genres. Mais comme on le dit si bien: qui se ressemble s’assemble. On a surtout remarqué le meilleur d’entre les meilleurs. Le plan est simple : arriver en tête au premier tour et tout le reste suivra. Celui qui a cramé l’argent de la bombe, le plus décoré de la justice républicaine, se verrait bien reprendre le flambeau tricolore à 80 berges passées pour sauver le pays de la dérive indépendantiste. L’ivresse de la distribution des bonbons comme au bon vieux temps : avez vous été fidèles ?... Serrage des fesses tous azimuts chez les socio-pros, l’horreur…
C’était trop bref, mais vaut mieux éviter les paniers à crabes. En dépit des apparences, l’envoyé spécial du candidat sortant n’est pas Harry Potter et il y a mieux à faire à Paris. De toutes façons, c’est joué, ils vont tous voter Sarko, cocus et contents, on ne va pas se gêner.
Mais ne soyons pas mauvaise langue, François Baroin est venu avec un cadeau. Si le candidat sortant est élu, il viendra en fin d’année prononcer ses vœux en Polynésie française. Nous acceptons ce cadeau, car le nouveau Président de la République avec nous en fin d’année sera François Hollande.
Les 21 avril et 5 mai, votons pour François Hollande !