Tony Géros nous l’avait promis, à l’occasion de la session extraordinaire, le président Temaru allait nous « dévoiler la stratégie du pays ». Hier, pour l’étude de la modification budgétaire, il a brillé par son absence.
Aujourd’hui, le président est enfin apparu. Mais ce n’était pas pour parler d’une quelconque stratégie.
Au détour d’un débat sur la prévention médicale qui est aujourd’hui réduite à néant, Oscar Temaru s’est contenté de déverser sa bile contre la France, les Français, et bien sûr le président de la République.
Une fois de plus, dans son discours haineux anti-Français, anti-Sarkozy, au sujet de l’intervention française en Libye, Oscar Temaru a oublié qu’il s’agissait d’un mandat international donné par l’ONU. Cette ONU auprès de laquelle le leader du Tavini ne cesse de pleurnicher pour sa réinscription sur la liste des pays à décoloniser.
A défaut du soutien de l’ONU, Oscar Temaru croit avoir trouvé une bouée de sauvetage dans le club de Madrid, ce rassemblement d’anciens chefs d’Etat et de gouvernement qui cherchent à occuper leur retraite, ou encore d’un milliardaire australien, pur produit de la colonisation des aborigènes.
De ce discours pathologique du mégalomane Oscar Temaru, qui se prend maintenant pour le porte-parole de milliards d’humains, on peut se demander pourquoi un seul Polynésien pourrait aller voter pour le candidat du Tavini, François Hollande, ce candidat français à la présidence de la République française que le leader indépendantiste n’a de cesse de vomir.
Aujourd’hui, le président est enfin apparu. Mais ce n’était pas pour parler d’une quelconque stratégie.
Au détour d’un débat sur la prévention médicale qui est aujourd’hui réduite à néant, Oscar Temaru s’est contenté de déverser sa bile contre la France, les Français, et bien sûr le président de la République.
Une fois de plus, dans son discours haineux anti-Français, anti-Sarkozy, au sujet de l’intervention française en Libye, Oscar Temaru a oublié qu’il s’agissait d’un mandat international donné par l’ONU. Cette ONU auprès de laquelle le leader du Tavini ne cesse de pleurnicher pour sa réinscription sur la liste des pays à décoloniser.
A défaut du soutien de l’ONU, Oscar Temaru croit avoir trouvé une bouée de sauvetage dans le club de Madrid, ce rassemblement d’anciens chefs d’Etat et de gouvernement qui cherchent à occuper leur retraite, ou encore d’un milliardaire australien, pur produit de la colonisation des aborigènes.
De ce discours pathologique du mégalomane Oscar Temaru, qui se prend maintenant pour le porte-parole de milliards d’humains, on peut se demander pourquoi un seul Polynésien pourrait aller voter pour le candidat du Tavini, François Hollande, ce candidat français à la présidence de la République française que le leader indépendantiste n’a de cesse de vomir.