Billy Joussin, Marc Hélias et Taimana Ellacott
Le Délégué adjoint du Pays, Marc Hélias a reçu vendredi matin à Paris le président de la Fédération des associations des étudiants de Polynésie française (FAEPF), Taimana Ellacott. Soucieux de rétablir l’image des AEPF auprès des parents et futurs étudiants, ce dernier a présenté les principales actions qu’il souhaitait mettre en œuvre lors de sa mandature et exprimé sa volonté de consolider les liens déjà existants avec la Délégation au sein de laquelle la cellule chargée des étudiants a été récemment renforcée.
Elu en avril dernier, Taimana Ellacott a pour objectif durant sa présidence de favoriser le retour des étudiants en Polynésie française au terme de leur cursus, en les encourageant à s’orienter vers l’entreprenariat qui offre selon lui de réelles perspectives d’emploi.
« Il y a beaucoup de choses à créer en Polynésie » assure-t-il.
Le président de la Fédération souhaiterait par ailleurs la création d’un outil statistique permettant de recenser par filière les Polynésiens étudiant à l’extérieur du Pays, afin de mieux adapter l’orientation des bacheliers aux besoins de la Polynésie française.
Selon lui, l’une des solutions pourrait être l’élaboration par les autorités compétentes d’une fiche de renseignements qui serait distribuée de début juin à fin septembre sur les longs courriers au départ de Papeete.
Ce document où seraient indiqués le lieu, la durée du cursus et la filière suivie élargirait le recensement aux étudiants ne bénéficiant pas des dispositifs de passeport mobilité et de continuité territoriale.
Une force de propositions
Autre projet majeur de Taimana Ellacott : la mise en place de centres de réflexion au sein de chaque AEPF, neuf au total.
Le principe serait de proposer chaque trimestre aux associations un débat autour d’un sujet de société relatif à la Polynésie française, tel la réforme de la protection sociale généralisée. Au terme de ces échanges, un compte rendu des réflexions et propositions émises par les étudiants seraient rédigé et adressé aux administrations du Pays.
Le président de la Fédération entend ainsi créer une véritable synergie entre AEPF et surtout présenter la communauté étudiante aux autorités locales comme une réelle force de propositions, constructive et apolitique.
D’autre part, Taimana Ellacott a insisté sur l’importance de communiquer sur le rôle d’accompagnement primordial assuré par les AEPF en métropole auprès des étudiants polynésiens. Il a rappelé que dans cette perspective, une réunion d’information annuelle avait lieu en juillet au collège La Mennais. Il a en outre précisé qu’un représentant des AEPF à Tahiti avait été désigné cette année. Celui-ci siège notamment à la Commission d’attribution des bourses majorées.
Enfin, Taimana Ellacott a souligné la création en septembre d’une AEPF au Canada comptant déjà 35 membres.
Elu en avril dernier, Taimana Ellacott a pour objectif durant sa présidence de favoriser le retour des étudiants en Polynésie française au terme de leur cursus, en les encourageant à s’orienter vers l’entreprenariat qui offre selon lui de réelles perspectives d’emploi.
« Il y a beaucoup de choses à créer en Polynésie » assure-t-il.
Le président de la Fédération souhaiterait par ailleurs la création d’un outil statistique permettant de recenser par filière les Polynésiens étudiant à l’extérieur du Pays, afin de mieux adapter l’orientation des bacheliers aux besoins de la Polynésie française.
Selon lui, l’une des solutions pourrait être l’élaboration par les autorités compétentes d’une fiche de renseignements qui serait distribuée de début juin à fin septembre sur les longs courriers au départ de Papeete.
Ce document où seraient indiqués le lieu, la durée du cursus et la filière suivie élargirait le recensement aux étudiants ne bénéficiant pas des dispositifs de passeport mobilité et de continuité territoriale.
Une force de propositions
Autre projet majeur de Taimana Ellacott : la mise en place de centres de réflexion au sein de chaque AEPF, neuf au total.
Le principe serait de proposer chaque trimestre aux associations un débat autour d’un sujet de société relatif à la Polynésie française, tel la réforme de la protection sociale généralisée. Au terme de ces échanges, un compte rendu des réflexions et propositions émises par les étudiants seraient rédigé et adressé aux administrations du Pays.
Le président de la Fédération entend ainsi créer une véritable synergie entre AEPF et surtout présenter la communauté étudiante aux autorités locales comme une réelle force de propositions, constructive et apolitique.
D’autre part, Taimana Ellacott a insisté sur l’importance de communiquer sur le rôle d’accompagnement primordial assuré par les AEPF en métropole auprès des étudiants polynésiens. Il a rappelé que dans cette perspective, une réunion d’information annuelle avait lieu en juillet au collège La Mennais. Il a en outre précisé qu’un représentant des AEPF à Tahiti avait été désigné cette année. Celui-ci siège notamment à la Commission d’attribution des bourses majorées.
Enfin, Taimana Ellacott a souligné la création en septembre d’une AEPF au Canada comptant déjà 35 membres.
