La conférence de presse a été menée par Lionel Teihotu, président de la FTS
La première des deux compétitions sera la Air Tahiti Rangiroa Pro. Elle était depuis 2010 une compétition Pro junior, elle n’est passée en Open que depuis 2016 et depuis, le nombre de compétiteurs a sensiblement augmenté. Cette compétition est la 11e du circuit des world qualifying series proposé par la ligue de surf professionnelle (WSL). Plus de 80 compétiteurs sont attendus à Rangiroa, aux Tuamotu.
Lionel Teihotu, le président de la fédération tahitienne de surf, a tenu a remercier les différents partenaires de l’événement, notamment Air Tahiti, représentée par Moearii Darius, l’OPT représentée par Mildred Lemenn, l’IJSPF représentée par Léo Helme ou encore l’école de surf Tama Hee représentée par Michel Demont. Les représentants des communes de Rangiroa et de Papara étaient également présents.
M. Helme a rappelé que « le Pays réaffirmait sa forte volonté d’aider le surf pour qu’il puisse se développer, pour que nos surfeurs tahitiens puissent porter au plus haut les couleurs du Pays à l’international. » Le surf, on le rappelle, est un vecteur de développement touristique, la Polynésie offrant un nombre important de spots de surf et un décor unique pour la pratique de ce sport qui sera présent aux JO de 2020.
La météo ne semble pas pour l’instant favorable, le spot fonctionnant exclusivement grâce à une houle de nord, Lionel Teihotu espère malgré tout que « Neptune » puisse permettre que la bonne houle puisse être au rendez-vous. Comme l’année dernière, de nombreux très bons surfeurs hawaiiens sont attendus, avec même quelques stars comme le waterman Kai Lenny actuellement 163e du classement WQS, ou encore Sunny Garcia la légende hawaiienne.
Du côté des Tahitiens, il faudra surveiller O’Neil Massin, actuellement le meilleur Tahitien au classement WQS puisqu’il est actuellement 86e, ou encore Taumata Puhetini 102e. Mihimana Braye et Mateia Hiquily ont porté leur dévolu sur l’Open d’Australie, un WQS 6000, étant contraints de faire des choix entre les compétitions pour tenter de se rapprocher du haut du classement.
Keoni Yan est également engagé, il a participé aux compétitions hawaiiennes du début de saison mais avec moins de réussite qu’en 2016, il y a ensuite d’autres excellents locaux comme Steven Pierson, Ariihoe Tefaafana, Tereva David, Heifara Tautini, Enrique Ariitu, Mauiki Raioha, Taramu Tinirau, Eliott Napias, Moana David, Ruarii Atani ou David Dandois, ils donneront certainement du fil à retordre aux Hawaiiens présents.
Lionel Teihotu, le président de la fédération tahitienne de surf, a tenu a remercier les différents partenaires de l’événement, notamment Air Tahiti, représentée par Moearii Darius, l’OPT représentée par Mildred Lemenn, l’IJSPF représentée par Léo Helme ou encore l’école de surf Tama Hee représentée par Michel Demont. Les représentants des communes de Rangiroa et de Papara étaient également présents.
M. Helme a rappelé que « le Pays réaffirmait sa forte volonté d’aider le surf pour qu’il puisse se développer, pour que nos surfeurs tahitiens puissent porter au plus haut les couleurs du Pays à l’international. » Le surf, on le rappelle, est un vecteur de développement touristique, la Polynésie offrant un nombre important de spots de surf et un décor unique pour la pratique de ce sport qui sera présent aux JO de 2020.
La météo ne semble pas pour l’instant favorable, le spot fonctionnant exclusivement grâce à une houle de nord, Lionel Teihotu espère malgré tout que « Neptune » puisse permettre que la bonne houle puisse être au rendez-vous. Comme l’année dernière, de nombreux très bons surfeurs hawaiiens sont attendus, avec même quelques stars comme le waterman Kai Lenny actuellement 163e du classement WQS, ou encore Sunny Garcia la légende hawaiienne.
Du côté des Tahitiens, il faudra surveiller O’Neil Massin, actuellement le meilleur Tahitien au classement WQS puisqu’il est actuellement 86e, ou encore Taumata Puhetini 102e. Mihimana Braye et Mateia Hiquily ont porté leur dévolu sur l’Open d’Australie, un WQS 6000, étant contraints de faire des choix entre les compétitions pour tenter de se rapprocher du haut du classement.
Keoni Yan est également engagé, il a participé aux compétitions hawaiiennes du début de saison mais avec moins de réussite qu’en 2016, il y a ensuite d’autres excellents locaux comme Steven Pierson, Ariihoe Tefaafana, Tereva David, Heifara Tautini, Enrique Ariitu, Mauiki Raioha, Taramu Tinirau, Eliott Napias, Moana David, Ruarii Atani ou David Dandois, ils donneront certainement du fil à retordre aux Hawaiiens présents.
Keoni Yan en action à Taharu'u
Les surfeurs enchaineront avec le Papara Pro
Dans la foulée, les surfeurs participeront au Papara Pro, la 14e compétition du circuit WQS. Cette fois-ci, en plus de la compétition Open, les catégorie junior homme, junior femme, open femme et longboard seront représentées. Pour ces deux dernières, ce sera une première.
On connaît le fort développement du surf féminin qui a été de pair avec l’augmentation des dotations financières des étapes du championnat du monde élite qui comporte pas moins de 10 étapes. La championne du monde en titre Tyler Wright a gagné 400 000 $ en 2016, rien qu’avec les compétitions. A suivre les performances de Karelle Poppke ou encore Vahine Fierro, les deux meilleurs Tahitiennes actuellement.
La compétition Tama Hee Classic, sponsorisée par l’école de surf du champion du monde de longboard Michel Demont, propose une dotation financière de 3000 $, ce qui est dans la moyenne internationale. Ce dernier a rappelé « qu’il fallait faire place aux jeunes, mais qu’il participera également, histoire de faire le spectacle, le tout dans la joie et la bonne humeur. » Rappelons que le longboard, qui se pratique sur une planche plus longue que le surf classique, est une discipline bien représentative de « l’esprit surf ».
Des juges de la world surf league étaient présents lors de la conférence de presse. Ils assureront la notation des surfeurs pendant leurs séries mais ils proposeront également des formations afin « d’avoir plus de juges tahitiens à l’avenir ». Pour les personnes intéressées, joindre la fédération tahitienne de surf à travers sa secrétaire Sarah Lienard.
Dans la foulée, les surfeurs participeront au Papara Pro, la 14e compétition du circuit WQS. Cette fois-ci, en plus de la compétition Open, les catégorie junior homme, junior femme, open femme et longboard seront représentées. Pour ces deux dernières, ce sera une première.
On connaît le fort développement du surf féminin qui a été de pair avec l’augmentation des dotations financières des étapes du championnat du monde élite qui comporte pas moins de 10 étapes. La championne du monde en titre Tyler Wright a gagné 400 000 $ en 2016, rien qu’avec les compétitions. A suivre les performances de Karelle Poppke ou encore Vahine Fierro, les deux meilleurs Tahitiennes actuellement.
La compétition Tama Hee Classic, sponsorisée par l’école de surf du champion du monde de longboard Michel Demont, propose une dotation financière de 3000 $, ce qui est dans la moyenne internationale. Ce dernier a rappelé « qu’il fallait faire place aux jeunes, mais qu’il participera également, histoire de faire le spectacle, le tout dans la joie et la bonne humeur. » Rappelons que le longboard, qui se pratique sur une planche plus longue que le surf classique, est une discipline bien représentative de « l’esprit surf ».
Des juges de la world surf league étaient présents lors de la conférence de presse. Ils assureront la notation des surfeurs pendant leurs séries mais ils proposeront également des formations afin « d’avoir plus de juges tahitiens à l’avenir ». Pour les personnes intéressées, joindre la fédération tahitienne de surf à travers sa secrétaire Sarah Lienard.
Tereva David, Keanu Moux, Taramu Tinirau, O'Neil Massin, Yann Duhaze, il faudra compter sur la qualité des champions tahitiens
Deux compétitions à ne pas rater
La compétition Rangiroa Pro ne sera pas retransmise en direct WEB cette année, en raison de difficultés techniques. Le dernier jour du Papara Pro pourrait l’être mais cela sera confirmé par l’organisation. Le Rangi Pro se déroulera sur le site exceptionnel de la passe d’Avatoru à Rangiroa.
Le Papara Pro se déroulera à Taharu’u, la vague déroulant juste en face de la magnifique plage de sable noir. Le public pourra assister gratuitement à la compétition avec donc cette année de nouvelle catégories au programme. Une dépression lointaine devrait générer une houle de sud ouest qui sera propice au fonctionnement de ce spot exceptionnel. Infos au 87 29 68 76 Sarah Lienard. SB
La compétition Rangiroa Pro ne sera pas retransmise en direct WEB cette année, en raison de difficultés techniques. Le dernier jour du Papara Pro pourrait l’être mais cela sera confirmé par l’organisation. Le Rangi Pro se déroulera sur le site exceptionnel de la passe d’Avatoru à Rangiroa.
Le Papara Pro se déroulera à Taharu’u, la vague déroulant juste en face de la magnifique plage de sable noir. Le public pourra assister gratuitement à la compétition avec donc cette année de nouvelle catégories au programme. Une dépression lointaine devrait générer une houle de sud ouest qui sera propice au fonctionnement de ce spot exceptionnel. Infos au 87 29 68 76 Sarah Lienard. SB