MONTPELLIER, 9 sept 2012 (AFP) - De nombreux automobilistes se sont récemment fait flasher à tort sur un tronçon de l'A9 où la vitesse est limitée à 90 km/h aux heures de pointes au lieu de 110 km/h, a-t-on appris dimanche auprès des autoroutes du Sud de la France (ASF) et de la préfecture de l'Hérault.
Entre 07h00 et 09h00 et de 17h00 à 19h00, la partie de l'autoroute entre Montpellier-est et Saint-Jean-de-Védas (Hérault) est embouteillée dans les deux sens de circulation avec jusqu'à 5.000 véhicules par heure, explique-t-on à la direction régionale des ASF de Languedoc-Roussillon.
C'est pourquoi un "système expérimental (de réduction de la vitesse, NDLR) a été mis en oeuvre début juillet et pour une durée d'un an par la préfecture de l'Hérault", une mesure destinée à mieux fluidifier le trafic routier sur cette portion de 12 kilomètres, explique-t-on.
Selon les ASF, ce sont "des bugs" dans les panneaux de signalisation qui sont directement à l'origine des dysfonctionnements constatés par des automobilistes, et non les radars fixes.
"La foudre qui est tombée lors de violents orages il y a une quinzaine de jours et des problèmes de liaison entre le système qui gère l'affichage de la vitesse autorisée et les panneaux lumineux seraient à l'origine de ces dysfonctionnements", précise-t-on.
Les ASF ont par conséquent "immédiatement" informé du problème le Centre automatisé de constatation des infractions routières de Rennes (CASIR), en charge de la gestion nationale des procès-verbaux des dépassements de vitesse aux radars fixes.
"La préfecture a reçu ces derniers jours des plaintes d'automobilistes dénonçant avoir été flashés à tort sur cette portion de l'A9", confirme à l'AFP Nicolas Honoré, le directeur de cabinet du préfet de l'Hérault. "Mais qu'ils se rassurent: il n'y a aura aucune sanction et ils ne recevront pas leur PV", ajoute-t-il.
Ni la préfecture de l'Hérault, ni les ASF sont en mesure de donner des statistiques sur le nombre de conducteurs flashés à tort et sur celui des PV invalidés.
Un bilan de ce test sur cette portion de l'A9 au sud de Montpellier sera effectué à la fin de l'année.
cor-lrb/gc
Entre 07h00 et 09h00 et de 17h00 à 19h00, la partie de l'autoroute entre Montpellier-est et Saint-Jean-de-Védas (Hérault) est embouteillée dans les deux sens de circulation avec jusqu'à 5.000 véhicules par heure, explique-t-on à la direction régionale des ASF de Languedoc-Roussillon.
C'est pourquoi un "système expérimental (de réduction de la vitesse, NDLR) a été mis en oeuvre début juillet et pour une durée d'un an par la préfecture de l'Hérault", une mesure destinée à mieux fluidifier le trafic routier sur cette portion de 12 kilomètres, explique-t-on.
Selon les ASF, ce sont "des bugs" dans les panneaux de signalisation qui sont directement à l'origine des dysfonctionnements constatés par des automobilistes, et non les radars fixes.
"La foudre qui est tombée lors de violents orages il y a une quinzaine de jours et des problèmes de liaison entre le système qui gère l'affichage de la vitesse autorisée et les panneaux lumineux seraient à l'origine de ces dysfonctionnements", précise-t-on.
Les ASF ont par conséquent "immédiatement" informé du problème le Centre automatisé de constatation des infractions routières de Rennes (CASIR), en charge de la gestion nationale des procès-verbaux des dépassements de vitesse aux radars fixes.
"La préfecture a reçu ces derniers jours des plaintes d'automobilistes dénonçant avoir été flashés à tort sur cette portion de l'A9", confirme à l'AFP Nicolas Honoré, le directeur de cabinet du préfet de l'Hérault. "Mais qu'ils se rassurent: il n'y a aura aucune sanction et ils ne recevront pas leur PV", ajoute-t-il.
Ni la préfecture de l'Hérault, ni les ASF sont en mesure de donner des statistiques sur le nombre de conducteurs flashés à tort et sur celui des PV invalidés.
Un bilan de ce test sur cette portion de l'A9 au sud de Montpellier sera effectué à la fin de l'année.
cor-lrb/gc