Téléportation, dématérialisation, des mots qui se concrétisent...
Suivre les Etats Généraux depuis son PC, son Mac ou son ipad, c'est possible! le site www.http://www.tearahotu.pf, offre un accès direct en vidéo à toutes celles et ceux qui n'ont pas put, pour des raisons de distance ou d'emploi du temps se déplacer...qui plus est, il est permis à ces personnes d'intervenir et de poser leurs questions au même titre que celles qui sont présentes dans la salle...et tout cela en direct-live: cette application est en soi déjà, un E-service - nous pouvons nous féliciter et remercier notre opérateur local pour la nette amélioration des diffusions vidéo sur le net-.
Le thème du soir, donc, concernait les nombreuses applications que l'évolution des moyens technologiques vont permettre de développer sur le territoire: quelques exemples ont été cités:
E-santé : au lieu d'évasaner un malade et de le transporter avec tous les risques que cela représente, il sera envisageable de se connecter dans des conditions idéales aux plus grand laboratoires, voire aux plus grands chirurgiens, qui, rappelons que des opérations de ce type ont déjà put se réaliser avec succès, pourront, pourquoi pas intervenir à distance.l[
E-éducation : nos étudiants pourront suivre en direct les enseignements des plus grandes universités ou écoles au monde, et passer leurs examens sans quitter le territoire.
E-commerce : un producteur de Monoï artisanal situé à Makemo pourra commercialiser dans des conditions simplissimes ses produits dans le monde entier, d'ailleurs, à ce sujet, Monsieur Héliado Costa-Elias précisait que des études avaient démontré que le E-commerce profitait particulièrement au petit commerce de proximité, même dans un rayon géographique restreint.
Et ne parlons pas des développements qui vont pouvoir s'opérer au niveau de l'E-culture, de l'e-tourisme, etc...
Vous ne rêvez pas, ces moyens arrivent, les autoroutes se construisent, libre à chacun ensuite de choisir le véhicule qu'il utilisera, mais il sera important, si l'on veut éviter une fracture numérique importante et pénalisante pour une partie de la population que les aménagements se fassent de façon équitable sur l'ensemble du territoire.
Le thème du soir, donc, concernait les nombreuses applications que l'évolution des moyens technologiques vont permettre de développer sur le territoire: quelques exemples ont été cités:
E-santé : au lieu d'évasaner un malade et de le transporter avec tous les risques que cela représente, il sera envisageable de se connecter dans des conditions idéales aux plus grand laboratoires, voire aux plus grands chirurgiens, qui, rappelons que des opérations de ce type ont déjà put se réaliser avec succès, pourront, pourquoi pas intervenir à distance.l[
E-éducation : nos étudiants pourront suivre en direct les enseignements des plus grandes universités ou écoles au monde, et passer leurs examens sans quitter le territoire.
E-commerce : un producteur de Monoï artisanal situé à Makemo pourra commercialiser dans des conditions simplissimes ses produits dans le monde entier, d'ailleurs, à ce sujet, Monsieur Héliado Costa-Elias précisait que des études avaient démontré que le E-commerce profitait particulièrement au petit commerce de proximité, même dans un rayon géographique restreint.
Et ne parlons pas des développements qui vont pouvoir s'opérer au niveau de l'E-culture, de l'e-tourisme, etc...
Vous ne rêvez pas, ces moyens arrivent, les autoroutes se construisent, libre à chacun ensuite de choisir le véhicule qu'il utilisera, mais il sera important, si l'on veut éviter une fracture numérique importante et pénalisante pour une partie de la population que les aménagements se fassent de façon équitable sur l'ensemble du territoire.
Compte-rendu de la conférence du 1er juin « e-services »
Avant que ne soient lancés les débats sur le thème de l’e-administration, le Chef du Service Informatique de la Polynésie française M. Eugène Sanford et le représentant de la Caisse des Dépôts et Consignation M. Helideo Costa Elias ont animé une « conférence d’introduction aux e-services publics », à la Présidence de la Polynésie française.
A cette occasion, le numérique a été décrit comme une formidable opportunité de modernisation de l’administration polynésienne qui devra proposer dans un futur proche, des procédures et des services publics dématérialisés, accessibles à tous sur Internet.
Au cours de la conférence, les animateurs ont présenté les objectifs et les enjeux d’une telle dématérialisation des procédures, au nombre desquels figurent en bonne position la simplification de la vie des usagers et des entreprises, le gain de temps, l’accès aux services à distance pour les archipels éloignés, la diminution des impressions papier et donc de leur impact environnemental ainsi que la réduction des coûts de ces mêmes impressions…
Le défi de l’administration de demain sera donc en grande partie numérique.
L’interaction envisagée entre les usagers et les futurs e-services publics devrait impulser une révolution sans précédent des méthodes de travail dans l’administration. Une révolution très attendue.
b[
Avant que ne soient lancés les débats sur le thème de l’e-administration, le Chef du Service Informatique de la Polynésie française M. Eugène Sanford et le représentant de la Caisse des Dépôts et Consignation M. Helideo Costa Elias ont animé une « conférence d’introduction aux e-services publics », à la Présidence de la Polynésie française.
A cette occasion, le numérique a été décrit comme une formidable opportunité de modernisation de l’administration polynésienne qui devra proposer dans un futur proche, des procédures et des services publics dématérialisés, accessibles à tous sur Internet.
Au cours de la conférence, les animateurs ont présenté les objectifs et les enjeux d’une telle dématérialisation des procédures, au nombre desquels figurent en bonne position la simplification de la vie des usagers et des entreprises, le gain de temps, l’accès aux services à distance pour les archipels éloignés, la diminution des impressions papier et donc de leur impact environnemental ainsi que la réduction des coûts de ces mêmes impressions…
Le défi de l’administration de demain sera donc en grande partie numérique.
L’interaction envisagée entre les usagers et les futurs e-services publics devrait impulser une révolution sans précédent des méthodes de travail dans l’administration. Une révolution très attendue.
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Atelier du 1er juin sur l' 'e-administration'
La définition des e-services prioritaires, un enjeu majeur dans la mise en œuvre de l’administration polynésienne de demain. Un enjeu au cœur du troisième atelier des Etats généraux du numérique animé par la journaliste Mme Lenaik Bertho et le directeur de la société Informatique de Tahiti M. Olivier Kressmann.
Bien qu’issus d’horizons variés, les cinq intervenants conviés aux débats se sont rapidement accordés sur la nécessité d’un schéma directeur polynésien, d’une véritable orientation stratégique, afin de développer efficacement les e-services dans l’administration locale.
Le chargé de mission à l’Inspection Générale de l’Administration M. Steeve Raoulx a tenu à préciser qu’à terme ces e-services représenteront « jusqu’à 90 % des services publics offerts aux usagers ». Un pourcentage élevé qui requiert une définition rapide de priorités en matière de services publics dématérialisés. Il s’agit-là d’un point essentiel sur lequel tous semblaient favorables, y compris les représentants de la société civile et les professionnels des nouvelles technologies et télécommunications présents dans la salle (plus de 80 personnes au total).
Certains aspects plus techniques ont également été abordés au cours de l’atelier.
Au-delà d’un modèle de pilotage, les attentes des usagers polynésiens se portent sur des avancées numériques précises telles que la création d’une signature numérique, l’accès au paiement en ligne par cartes bancaires classiques non internationales ( non exclusivement les cartes bancaires de type Visa), disposer d’un portail administratif regroupant les différents sites des administrations, gage d’une meilleure circulation de l’information entre administrés et services mais également entre plusieurs services de l’administration eux-mêmes.
Il y a par conséquent encore beaucoup à faire.
Une mutualisation des énergies sera nécessaire et les Etats généraux du numérique devraient tenir un rôle important dans la définition de priorités et de modalités d’application qui seront restituées en présence de la secrétaire d’Etat à la prospective et au développement de l’économie numérique Mme Nathalie Kosciusko-Morizet.
La définition des e-services prioritaires, un enjeu majeur dans la mise en œuvre de l’administration polynésienne de demain. Un enjeu au cœur du troisième atelier des Etats généraux du numérique animé par la journaliste Mme Lenaik Bertho et le directeur de la société Informatique de Tahiti M. Olivier Kressmann.
Bien qu’issus d’horizons variés, les cinq intervenants conviés aux débats se sont rapidement accordés sur la nécessité d’un schéma directeur polynésien, d’une véritable orientation stratégique, afin de développer efficacement les e-services dans l’administration locale.
Le chargé de mission à l’Inspection Générale de l’Administration M. Steeve Raoulx a tenu à préciser qu’à terme ces e-services représenteront « jusqu’à 90 % des services publics offerts aux usagers ». Un pourcentage élevé qui requiert une définition rapide de priorités en matière de services publics dématérialisés. Il s’agit-là d’un point essentiel sur lequel tous semblaient favorables, y compris les représentants de la société civile et les professionnels des nouvelles technologies et télécommunications présents dans la salle (plus de 80 personnes au total).
Certains aspects plus techniques ont également été abordés au cours de l’atelier.
Au-delà d’un modèle de pilotage, les attentes des usagers polynésiens se portent sur des avancées numériques précises telles que la création d’une signature numérique, l’accès au paiement en ligne par cartes bancaires classiques non internationales ( non exclusivement les cartes bancaires de type Visa), disposer d’un portail administratif regroupant les différents sites des administrations, gage d’une meilleure circulation de l’information entre administrés et services mais également entre plusieurs services de l’administration eux-mêmes.
Il y a par conséquent encore beaucoup à faire.
Une mutualisation des énergies sera nécessaire et les Etats généraux du numérique devraient tenir un rôle important dans la définition de priorités et de modalités d’application qui seront restituées en présence de la secrétaire d’Etat à la prospective et au développement de l’économie numérique Mme Nathalie Kosciusko-Morizet.