Cet accord de principe, qui formalise un partenariat entre les parties signataires, implique un groupe de huit universités australiennes (Universités de Sydney, de la Nouvelle-Galles-du-Sud, de Melbourne, de Monash, d’Adelaide, et plus récemment l’Université de l’Australie occidentale, l’université nationale australienne et l’Université du Queensland), le gouvernement français, et les entreprises françaises établies en Australie (parmi lesquelles Thalès, EADS, Suez Degrémont, BNP Paribas-Australie, Alstom, Areva, Véolia, Total, Altios International, Pernod Ricard).
L’accord devait être signé la semaine dernière entre tous le partenaire et notamment, pour la France, par l’ambassadeur en poste à Canberra, Michel Filhol et, côté universitaire, pour ce qu’il est convenu d’appeler le « groupe des Huit » universités, par son Président, le Professeur Alan Robson, en présence de représentants des ministères australiens de l’Éducation et de l’Innovation et de la Recherche, a annoncé l’ambassade de France à Canberra dans un communiqué qui estime que cette coopération « encouragera les relations interculturelles entre la France et l’Australie. Le programme de stages en entreprise française offrira aux étudiants des universités du Go8, la possibilité de travailler dans des environnements socio-économiques français en Australie et en France ».
Les bases de cet accord avaient été jetées il y a environ un an, lors d’un premier accord fondateur sur ce principe, et s’appuyant aussi sur une reconnaissance mutuelle de tout une série de diplômes de part et d’autre.
Chaque stagiaire, dans le cadre de cet accord, reçoit une panoplie d’allocations censée couvrir des voyages en France, des cours intensifs e Français et des allocations de subsistance, ainsi que la couverture médicale lors du séjour en métropole.
Chaque stage est typiquement scindé en deux parties égales de six mois de séjour en France et en Australie ou, pour les versions courtes, de deux fois trois mois sur le même principe.
Les secteurs privilégiés sont les affaires, le commerce, le marketing et l’ingénierie, secteurs d’activité dominants dans les entreprises françaises représentées en Australie.
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L’accord devait être signé la semaine dernière entre tous le partenaire et notamment, pour la France, par l’ambassadeur en poste à Canberra, Michel Filhol et, côté universitaire, pour ce qu’il est convenu d’appeler le « groupe des Huit » universités, par son Président, le Professeur Alan Robson, en présence de représentants des ministères australiens de l’Éducation et de l’Innovation et de la Recherche, a annoncé l’ambassade de France à Canberra dans un communiqué qui estime que cette coopération « encouragera les relations interculturelles entre la France et l’Australie. Le programme de stages en entreprise française offrira aux étudiants des universités du Go8, la possibilité de travailler dans des environnements socio-économiques français en Australie et en France ».
Les bases de cet accord avaient été jetées il y a environ un an, lors d’un premier accord fondateur sur ce principe, et s’appuyant aussi sur une reconnaissance mutuelle de tout une série de diplômes de part et d’autre.
Chaque stagiaire, dans le cadre de cet accord, reçoit une panoplie d’allocations censée couvrir des voyages en France, des cours intensifs e Français et des allocations de subsistance, ainsi que la couverture médicale lors du séjour en métropole.
Chaque stage est typiquement scindé en deux parties égales de six mois de séjour en France et en Australie ou, pour les versions courtes, de deux fois trois mois sur le même principe.
Les secteurs privilégiés sont les affaires, le commerce, le marketing et l’ingénierie, secteurs d’activité dominants dans les entreprises françaises représentées en Australie.
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