Crédit Luis ACOSTA / AFP
Lima, Pérou | AFP | samedi 16/11/2024 - Le président chilien Gabriel Boric a exhorté samedi les dirigeants de la région Pacifique réunis à Lima à se montrer "plus unis que jamais", face "à la menace de l'isolationnisme", dans une allusion voilée au retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
"Face à la menace de l’isolationnisme, du déni de la crise climatique par certains, soyons plus unis que jamais", a-t-il déclaré, lors d'une session à huis-clos, clôturant le sommet de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (Apec).
Sans mentionner le nom du président américain élu, sceptique à l'égard du changement climatique, le dirigeant socialiste chilien a insisté sur la nécessité d'une "plus grande unité parmi ceux d'entre nous qui, indépendamment de nos systèmes politiques, voient ces menaces pour l'humanité dans leur ensemble".
"Soyons capables de sortir de nos préjugés et de comprendre que nous-mêmes passons, en tant que présidents, mais que notre peuple et nos institutions resteront", a-t-il ajouté, devant les présidents américain Joe Biden et chinois Xi Jinping entre autres dirigeants.
Vendredi, au premier jour du sommet, qui regroupe 21 pays réalisant 60% du PIB mondial, Xi Jinping "a mis en garde contre la montée de l'unilatéralisme et du protectionnisme".
Les dirigeants des deux superpuissances ont prévu de se rencontrer dans l'après-midi pour un tête-à-tête, sur fond de craintes de nouvelle confrontation commerciale entre Chine et Etats-Unis, avec le retour à la Maison Blanche du milliardaire républicain.
L'Apec vise depuis 1989 à promouvoir la croissance économique, la coopération et les investissements dans la région du Pacifique.
Parmi ses membres on trouve également le Japon, la Corée du Sud, l'Indonésie, le Chili, le Canada, l'Australie, le Mexique et la Russie.
"Face à la menace de l’isolationnisme, du déni de la crise climatique par certains, soyons plus unis que jamais", a-t-il déclaré, lors d'une session à huis-clos, clôturant le sommet de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (Apec).
Sans mentionner le nom du président américain élu, sceptique à l'égard du changement climatique, le dirigeant socialiste chilien a insisté sur la nécessité d'une "plus grande unité parmi ceux d'entre nous qui, indépendamment de nos systèmes politiques, voient ces menaces pour l'humanité dans leur ensemble".
"Soyons capables de sortir de nos préjugés et de comprendre que nous-mêmes passons, en tant que présidents, mais que notre peuple et nos institutions resteront", a-t-il ajouté, devant les présidents américain Joe Biden et chinois Xi Jinping entre autres dirigeants.
Vendredi, au premier jour du sommet, qui regroupe 21 pays réalisant 60% du PIB mondial, Xi Jinping "a mis en garde contre la montée de l'unilatéralisme et du protectionnisme".
Les dirigeants des deux superpuissances ont prévu de se rencontrer dans l'après-midi pour un tête-à-tête, sur fond de craintes de nouvelle confrontation commerciale entre Chine et Etats-Unis, avec le retour à la Maison Blanche du milliardaire républicain.
L'Apec vise depuis 1989 à promouvoir la croissance économique, la coopération et les investissements dans la région du Pacifique.
Parmi ses membres on trouve également le Japon, la Corée du Sud, l'Indonésie, le Chili, le Canada, l'Australie, le Mexique et la Russie.