Déjà vainqueur des deux premières étapes et donc leader avant le dernier trajet entre Kinsale (Irlande) et Cherbourg, Le Cléac'h, âgé de 33 ans, a conforté sa position de tête en coupant la ligne le premier à 21 h 15 min et 24 sec, soit un temps de course sur cette étape de 2 j, 06 h, 30 min et 34 sec (moyenne de 7,98 noeuds).
Il a devancé Corentin Douguet (E.Leclerc Mobile) de 3 minutes et 4 secondes.
Le prochain concurrent attendu était François Gabart (Skipper Macif 2010).
Il a devancé Corentin Douguet (E.Leclerc Mobile) de 3 minutes et 4 secondes.
Le prochain concurrent attendu était François Gabart (Skipper Macif 2010).
Armel Le Cléac'h (Brit Air) a bien mené sa barque dans la quatrième et dernière étape de la Solitaire du Figaro à la voile, qu'il devrait terminer en grand vainqueur mercredi soir à Cherbourg.
Vainqueur des deux premières étapes, sixième dans la troisième à Kinsale (Irlande) en précédant tous ses principaux rivaux, Le Cléac'h, dit le Chacal, a mené la course durant l'essentiel de cette quatrième étape entre Kinsale et Cherbourg.
C'est ainsi qu'il s'est présenté en tête dans le raz Blanchard, la dernière difficulté, là où les courants sont équivalents à ceux rencontrés sur le Rhône. Sauf incident, il ne pouvait alors plus être décroché par ses rivaux.
"Les conditions sont idéales pour finir cette belle étape: du soleil, un grand ciel bleu et du vent qui rentre tout doucement. On est sous spi vers Cherbourg avec des empannages tout à l’heure, a confié Le Cléac'h dans une liaison avec la direction de course. C’est sympa d’avoir tout le monde derrière Brit Air. Cette année, je suis en phase avec les éléments, le bateau, il y a l’expérience. Sur l’eau, je me sens vraiment bien avec la stratégie, le vent et la vitesse du bateau. Il y a des courses comme ça où tout se passe comme on a espéré".
"On avait dit à Kinsale qu’avec 1 h 17 min, j’avais peu d’avance par rapport aux autres. Je pense qu’à l’arrivée ça va faire de gros écarts. Il y aura pas mal de chamboulements au classement", a-t-il ajouté.
"Je songeais aux différentes Solitaire du Figaro que j’ai vécues et je sais qu’il faut apprécier ces moments où tout se passe bien sur l’eau parce que tout n’est pas toujours comme ça. Alors j’en profite, j’ai pris la barre, je profite du bateau. J’attends d’avoir passé le raz Blanchard pour mettre la musique! On risque d’y arriver au moment de la renverse. Si le vent reste comme ça, ce sera bien pour nous, on passera sans trop s’arrêter."
Vainqueur des deux premières étapes, sixième dans la troisième à Kinsale (Irlande) en précédant tous ses principaux rivaux, Le Cléac'h, dit le Chacal, a mené la course durant l'essentiel de cette quatrième étape entre Kinsale et Cherbourg.
C'est ainsi qu'il s'est présenté en tête dans le raz Blanchard, la dernière difficulté, là où les courants sont équivalents à ceux rencontrés sur le Rhône. Sauf incident, il ne pouvait alors plus être décroché par ses rivaux.
"Les conditions sont idéales pour finir cette belle étape: du soleil, un grand ciel bleu et du vent qui rentre tout doucement. On est sous spi vers Cherbourg avec des empannages tout à l’heure, a confié Le Cléac'h dans une liaison avec la direction de course. C’est sympa d’avoir tout le monde derrière Brit Air. Cette année, je suis en phase avec les éléments, le bateau, il y a l’expérience. Sur l’eau, je me sens vraiment bien avec la stratégie, le vent et la vitesse du bateau. Il y a des courses comme ça où tout se passe comme on a espéré".
"On avait dit à Kinsale qu’avec 1 h 17 min, j’avais peu d’avance par rapport aux autres. Je pense qu’à l’arrivée ça va faire de gros écarts. Il y aura pas mal de chamboulements au classement", a-t-il ajouté.
"Je songeais aux différentes Solitaire du Figaro que j’ai vécues et je sais qu’il faut apprécier ces moments où tout se passe bien sur l’eau parce que tout n’est pas toujours comme ça. Alors j’en profite, j’ai pris la barre, je profite du bateau. J’attends d’avoir passé le raz Blanchard pour mettre la musique! On risque d’y arriver au moment de la renverse. Si le vent reste comme ça, ce sera bien pour nous, on passera sans trop s’arrêter."