Depuis quelques temps, une recrudescence de requins dans nos lagons est constatée, notamment sur certains sites où se pratique le « shark feeding » ou « baiting ». Les médias relaient ainsi les témoignages de pêcheurs ou de plongeurs sous-marins faisant état de comportements plus téméraires, voire agressifs, des requins rencontrés.
Jacky Bryant, ministre de l’environnement, tient à rappeler que les requins sont des espèces protégées par le code de l’environnement (arrêté n°396 CM du 28 avril 2006).
Cette protection prévoit notamment que dans les lagons, dans les passes et dans un rayon de 1 kilomètre centré sur l’axe de la passe, il est strictement interdit de pratiquer le « shark feeding » ou le « baiting », que ce soit à titre gratuit ou onéreux.
Le ministre rappelle également que la pêche, la détention, la commercialisation de tout ou partie du requin, même monté en article de bijouterie, sont strictement interdits.
Ces interdictions ne concernent pas aujourd’hui le requin mako, qui est une espèce comestible, mais ce dernier sera bientôt soumis aux mêmes prescriptions.
Tout contrevenant est passible de sanctions pénales de 3 mois d’emprisonnement et d’une amende d’un million de F.CFP. La peine est doublée s’il y a récidive, assortie de la confiscation possible du matériel utilisé (bateau, filet…).
Jacky Bryant, ministre de l’environnement, tient à rappeler que les requins sont des espèces protégées par le code de l’environnement (arrêté n°396 CM du 28 avril 2006).
Cette protection prévoit notamment que dans les lagons, dans les passes et dans un rayon de 1 kilomètre centré sur l’axe de la passe, il est strictement interdit de pratiquer le « shark feeding » ou le « baiting », que ce soit à titre gratuit ou onéreux.
Le ministre rappelle également que la pêche, la détention, la commercialisation de tout ou partie du requin, même monté en article de bijouterie, sont strictement interdits.
Ces interdictions ne concernent pas aujourd’hui le requin mako, qui est une espèce comestible, mais ce dernier sera bientôt soumis aux mêmes prescriptions.
Tout contrevenant est passible de sanctions pénales de 3 mois d’emprisonnement et d’une amende d’un million de F.CFP. La peine est doublée s’il y a récidive, assortie de la confiscation possible du matériel utilisé (bateau, filet…).