PORT-VILA, vendredi 3 février 2012 (Flash d’Océanie) – Un séisme de magnitude 6,9 sur l’échelle de Richter, révisée à 7,1, s’est produit vendredi 3 février 2012 à l’Ouest de la capitale de Vanuatu, Port-Vila, rapporte l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
L’épicentre de cette secousse sous-marine, qui s’est produite à 23h34 (locales, GMT+11) a été localisé à 125 kilomètres à l’Ouest de Port-Vila, à une profondeur estimée à 23 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Localisation et visualisation de cet événement sismique via Google Maps à l’adresse suivante :
http://maps.google.com/maps?q=-17.7656+167.1343(M7.1+-+VANUATU+-+2012+February+02++13%3A34%3A40+UTC)&ll=-17.7656,167.1343&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e.1+-+VANUATU+-+2012+February+02++13%3A34%3A40+UTC)&ll=-17.7656,167.1343&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé, mais la secousse aurait été fortement ressentie à Port-Vila et dans ses environs, selon les premiers comptes-rendus.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour) n’a pas émis d’alerte particulière à la suite de cette secousse, estimant que ce séisme n’était pas de nature à générer un tsunami d’ampleur régionale.
Après la secousse la plus puissante, pas moins de huit répliques (de magnitudes situées entre 4,9 et 5,5) ont été enregistrées dans la même zone.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs, qui englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii.
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L’épicentre de cette secousse sous-marine, qui s’est produite à 23h34 (locales, GMT+11) a été localisé à 125 kilomètres à l’Ouest de Port-Vila, à une profondeur estimée à 23 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Localisation et visualisation de cet événement sismique via Google Maps à l’adresse suivante :
http://maps.google.com/maps?q=-17.7656+167.1343(M7.1+-+VANUATU+-+2012+February+02++13%3A34%3A40+UTC)&ll=-17.7656,167.1343&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e.1+-+VANUATU+-+2012+February+02++13%3A34%3A40+UTC)&ll=-17.7656,167.1343&spn=2,2&f=d&t=h&hl=e
Aucun dégât ni blessé n’a été immédiatement signalé, mais la secousse aurait été fortement ressentie à Port-Vila et dans ses environs, selon les premiers comptes-rendus.
Le centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour) n’a pas émis d’alerte particulière à la suite de cette secousse, estimant que ce séisme n’était pas de nature à générer un tsunami d’ampleur régionale.
Après la secousse la plus puissante, pas moins de huit répliques (de magnitudes situées entre 4,9 et 5,5) ont été enregistrées dans la même zone.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs, qui englobe aussi bien les îles de la Mélanésie (Papouasie-Nouvelle-Guinée, îles Salomon, Vanuatu) que celles, plus au Nord, de la Micronésie (Marianne du Nord, Guam), au Sud, une zone polynésienne incluant la Nouvelle-Zélande et Tonga et plus à l’Est, la région d’Hawaii.
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