Désormais, les autorités parlent de dix sept victimes, directes ou indirectes, de cette secousse tellurique, dont le premier bilan faisait état de deux morts écrasés dans les décombres de leur maison.
Les quinze victimes supplémentaires auraient été en grande majorité les occupants d’un véhicule de transport en commun qui se serait retrouvé pris dans un glissement de terrain dans le district d’Ankaesera et aurait ensuite été enseveli, a précisé lundi à l’agence indonésienne Antara Priyadi Kardono, directeur du service de gestion des catastrophes naturelles.
Selon les estimations de cette cellule, les dégâts concerneraient deux milliers d’habitations et auraient touché au moins quatre mille personnes, dont beaucoup sont désormais considérées comme sans abri.
Juste après la secousse de la semaine dernière, fortement ressentie et qui aurait duré une bonne quarantaine de secondes dans les zones de la côte Ouest de l’île de Nouvelle-Guinée, des scènes de panique ont été signalées.
Des secours ont été envoyés sur place, essentiellement par voie maritime, plusieurs axes routiers étant encore impraticables.
L’épicentre de ce séisme a été localisé non loin des côtes de cette île, dans un golfe, à 195 kilomètres au Nord de la localité la plus proche, Enarotali, sur le territoire de la Papouasie occidentale (province indonésienne également connue sous le nom d’Irian Jaya et qui constitue la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Guinée).
La profondeur de ce séisme sous-marin a été estimée à 28 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Ce séisme avait été précédé d’une autre puissante secousse de magnitude 6,4 et qui est intervenu dix minutes auparavant, dans la même zone.
Le Centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) avait émis un avis relatif à cet événement à 03h26 GMT, dans lequel il précisait, à titre informatif, n’avoir pas observé de vague destructrice subséquente à échelle régionale.
Toutefois, conformément aux messages d’usage en ce genre de circonstance, le centre rappelle que des séismes de cette magnitude peuvent générer des tsunamis sur les côtes localisées dans un rayon de cent kilomètres autour de l’épicentre.
« Les autorités dans la région de l’épicentre doivent être alertées à cette possibilité et prendre les mesures appropriées », poursuivait le PTWC.
Les quinze victimes supplémentaires auraient été en grande majorité les occupants d’un véhicule de transport en commun qui se serait retrouvé pris dans un glissement de terrain dans le district d’Ankaesera et aurait ensuite été enseveli, a précisé lundi à l’agence indonésienne Antara Priyadi Kardono, directeur du service de gestion des catastrophes naturelles.
Selon les estimations de cette cellule, les dégâts concerneraient deux milliers d’habitations et auraient touché au moins quatre mille personnes, dont beaucoup sont désormais considérées comme sans abri.
Juste après la secousse de la semaine dernière, fortement ressentie et qui aurait duré une bonne quarantaine de secondes dans les zones de la côte Ouest de l’île de Nouvelle-Guinée, des scènes de panique ont été signalées.
Des secours ont été envoyés sur place, essentiellement par voie maritime, plusieurs axes routiers étant encore impraticables.
L’épicentre de ce séisme a été localisé non loin des côtes de cette île, dans un golfe, à 195 kilomètres au Nord de la localité la plus proche, Enarotali, sur le territoire de la Papouasie occidentale (province indonésienne également connue sous le nom d’Irian Jaya et qui constitue la partie occidentale de l’île de Nouvelle-Guinée).
La profondeur de ce séisme sous-marin a été estimée à 28 kilomètres en-dessous du niveau de la mer.
Ce séisme avait été précédé d’une autre puissante secousse de magnitude 6,4 et qui est intervenu dix minutes auparavant, dans la même zone.
Le Centre d’alerte aux tsunamis pour le Pacifique (Pacific Tsunami Warning Centre, PTWC, basé à Pearl Harbour, Hawaii) avait émis un avis relatif à cet événement à 03h26 GMT, dans lequel il précisait, à titre informatif, n’avoir pas observé de vague destructrice subséquente à échelle régionale.
Toutefois, conformément aux messages d’usage en ce genre de circonstance, le centre rappelle que des séismes de cette magnitude peuvent générer des tsunamis sur les côtes localisées dans un rayon de cent kilomètres autour de l’épicentre.
« Les autorités dans la région de l’épicentre doivent être alertées à cette possibilité et prendre les mesures appropriées », poursuivait le PTWC.