Le séisme initial a eu lieu à 17h14 GMT jeudi (4h14 du matin vendredi, heure locale) à 215 kilomètres au Nord-nord-ouest de l’île d’Espiritu Santo (Nord de l’archipel, environ 485 kilomètres au Nord de la capitale vanuatuane, Port-Vila), à une profondeur estimée de 36 kilomètres en-dessous du niveau de la mer, selon les données communiquées par l’institut géophysique américain USGS, basé à Denver (Colorado).
Ce puissant séisme a été suivi de plusieurs répliques dont les deux premières étaient de magnitudes 5,7 et 5,2, respectivement à 17h24 et 17h45 GMT jeudi, selon les mêmes sources.
Une alerte a ensuite été donnée à partir de 17h27 GMT par le centre régional d’alerte aux tsunamis, situé à Pearl Harbour (Hawaii).
Elle concernait notamment un risque de vague pour les îles de Vanuatu et celles, voisines, de Salomon (Nord) et de la Nouvelle-Calédonie (Sud-ouest).
Cette alerte a été finalement levée à 18h38 GMT.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs.
Ce puissant séisme a été suivi de plusieurs répliques dont les deux premières étaient de magnitudes 5,7 et 5,2, respectivement à 17h24 et 17h45 GMT jeudi, selon les mêmes sources.
Une alerte a ensuite été donnée à partir de 17h27 GMT par le centre régional d’alerte aux tsunamis, situé à Pearl Harbour (Hawaii).
Elle concernait notamment un risque de vague pour les îles de Vanuatu et celles, voisines, de Salomon (Nord) et de la Nouvelle-Calédonie (Sud-ouest).
Cette alerte a été finalement levée à 18h38 GMT.
Toutes les îles de cette région constituent ce qu’il est convenu d’appeler la « ceinture de feu du Pacifique », zone à très forte sismicité et à haute concentration de volcans actifs.