PAPEETE, le 8 juillet 2015 - Le conseil des ministres à fait le point sur les demandes d'aides à la création audiovisuelle et numérique examinées par la commission SCAN du 23 mars dernier. Le gouvernement a décidé de soutenir 10 initiatives pour un montant d'aides de 27 950 000 francs cfp, qui devraient générer 125 millions Fcfp de dépenses locales.
Dans le détail, les projets de 6 sociétés vont recevoir ces aides, dont 8 documentaires, une série de fiction télévisée et 1 projet numérique de plateforme d’e-business. Ce sont les premières subventions accordées à des projets numériques, qui sont désormais inclus dans le nouveau dispositif qui remplace l'APAC depuis le 1er janvier. La nouvelle formule prend en compte "des garanties de retombées économiques, notamment en terme d’emplois locaux des projets qui sont financés. Le montant de l’aide, dans le cas d’une production audiovisuelle, est ainsi plafonné à 50% des dépenses locales."
Le Scan ne financera pas les gros projets
De petits budgets surtout, qui excluent d'emblée les long-métrages. Pourtant, ceci ne veut pas dire que la Polynésie française abandonne les films. Les retombées que peuvent avoir des gros projets en dépenses locales se comptent en centaines de millions de francs... Le gouvernement promettait en janvier avoir entamé une large consultation avec les professionnels du secteur pour identifier d’autres outils d’accompagnement. On en attend encore les résultats.
Dans le détail, les projets de 6 sociétés vont recevoir ces aides, dont 8 documentaires, une série de fiction télévisée et 1 projet numérique de plateforme d’e-business. Ce sont les premières subventions accordées à des projets numériques, qui sont désormais inclus dans le nouveau dispositif qui remplace l'APAC depuis le 1er janvier. La nouvelle formule prend en compte "des garanties de retombées économiques, notamment en terme d’emplois locaux des projets qui sont financés. Le montant de l’aide, dans le cas d’une production audiovisuelle, est ainsi plafonné à 50% des dépenses locales."
Le Scan ne financera pas les gros projets
De petits budgets surtout, qui excluent d'emblée les long-métrages. Pourtant, ceci ne veut pas dire que la Polynésie française abandonne les films. Les retombées que peuvent avoir des gros projets en dépenses locales se comptent en centaines de millions de francs... Le gouvernement promettait en janvier avoir entamé une large consultation avec les professionnels du secteur pour identifier d’autres outils d’accompagnement. On en attend encore les résultats.